jeudi 30 mars 2023

GB : Révélation de l'Escroquerie de la Pandémie Covid !

La Fuite des Messages du Gouverne-Ment Brita-Nique démontre que la Pandémie Covid-19 n'est qu'une Farce de Soumission bien orchestrée !

Lockdown Files, la fin de l'histoire du Covid au Royaume-Uni !

TRIBUNE/LOCKDOWN FILES - Au Royaume-Uni, les Lockdown Files** défraient la chronique depuis plusieurs semaines. 
Il s'agit d'une énorme fuite de conversations privées entre Matt Hancock, le secrétaire d'État à la santé pendant la crise, et de nombreuses autres personnalités, politiques ou scientifiques.

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Ce sujet ne fait pas grand bruit en France, alors que les conclusions à en tirer sont immenses : les politiques placés comme gestionnaires de la "crise sanitaire" savent pertinemment que les mesures qu'ils ont prises n'ont absolument servi à rien. Matt Hancock se moque carrément de ceux qui y croient.

En France, dans de nombreux médias, ou même sur YouTube, il a été, et est encore bien souvent, interdit de contredire la doxa. Les politiques comme Matt Hancock savent donc parfaitement que le mur de censure, et le prétendu "consensus," imposés par les médias n'est qu'un écran de fumée. Le vrai visage des prétendus "journalistes" qui continuent encore de rabâcher le discours de la peur et de vanter les mérites de la politique gouvernementale est désormais dévoilé : ils n'ont servi que de "kapo" à un système qui les méprise ! Les commanditaires politiques n'ont jamais cessé de rire sous cape. Les rares qui vont oser se réveiller risquent de subir une terrible gueule de bois.

Lockdown Files : même les politiques à la manœuvre ne croient pas à l'escroquerie pandémique ! 

La journaliste Isabel Oakeshott a été missionnée par Matt Hancock lui-même pour écrire son journal de la pandémie "Pandemic Diaries". À cette occasion, il lui a fourni ses conversations privées avec des politiques (Boris Johnson, le Premier Ministre, les Ministres de la Santé, etc.), des "scientifiques officiels" du gouvernement, des conseillers politiques et des hauts fonctionnaires.

Après l'écriture du livre, la journaliste a fourni toute cette matière au journal "The Telegraph" qui l'analyse et publie presque tous les jours de nouveaux articles démontant point par point toutes les prétendues justifications des mesures prises au Royaume-Uni depuis 3 ans. 10 points saillants des révélations sont en lecture libre.

On y apprend par exemple que Matt Hancock n'a pas voulu mettre en place de test systématique dans les maisons de retraite anglaises en mars 2020 pour ne pas "semer la confusion". Il a choisi limiter les tests aux personnes âgées transférées dans les hôpitaux. En Angleterre, ce ne sont donc que les personnes "très malades" quelle qu'en soit la cause, et les "mourants" qui ont été testés.

Cela a complètement biaisé la perception des tests positifs : si on ne teste que des mourants, on va découvrir un taux de mortalité très élevé des personnes testées positives. On va alors attribuer la mort au "virus" détecté par le test.
Si l'Angleterre avait testé tout le monde, ils auraient alors découvert qu'il y a bien plus de personnes en parfaite santé parmi les testés positifs (comme le montrent les statistiques de la DREES), que de personnes malades.
Ils auraient donc trouvé un taux de mortalité parfaitement ridicule parmi les testés positifs et n'auraient pas pu entretenir la peur du virus. De la même manière, ils auraient découvert que la majorité des malades présentent des tests négatifs (comme le montrent les statistiques de la DREES) et n'auraient pas pu étiqueter en tant que "Covid-19" tous les décès constatés en maison de retraite. Ne pas "semer la confusion", c'est s'arranger pour maintenir un discours unique de la peur.

On y voit clairement Matt Hancock se moque des 149 personnes, dont des personnalités, revenues en Angleterre et acceptant d'être parquées en quarantaine dans des "boîtes à chaussures" de leur propre volonté ! Hilarant, d'après lui.

On y apprend que les enfants anglais ont porté des masques à l'école, non pas sur la base de résultats scientifiques, mais pour éviter de se disputer avec la Première Ministre Écossaise qui avait déjà opté pour ce choix. Pour information, les seules études publiées avec un protocole sérieux montrent que les masques n'ont aucun impact décelable sur le nombre de malades. Chacun s'habille comme il l'entend, mais sur ce sujet, il n'a jamais été question de science, mais bien de scientisme.

On y découvre enfin que pour les confinements, depuis la prise de décision, la discussion de leur durée, et la promotion de leur prétendue "efficacité" n'a rien à voir avec des résultats scientifiques, mais avec des questions politiques.

Il s'agit de réponses à l'opinion publique mesurée par sondage, de pseudo-justifications basées sur des chiffres "erronés" suivies d'un refus de perdre la face en admettant leur inutilité.

Les confinements sont inutiles partout, pas qu'au Royaume-Uni !

Le mathématicien Vincent Pavan a montré de multiples manières que la décision de confinement en France n'est en aucun cas basée sur de la science. Il a expliqué ses résultats dans l'émission du CSI du 02/03/2023.

Pour résumer, la panique a été exacerbée par un modèle mathématique de mortalité complètement hors-sol de Neil Ferguson :

- qui avait déjà prévu la fin de monde lors de l'escroquerie H1N1 en 2009 ;

- qui a par la suite continué à promouvoir son modèle grâce à l'intervention de la fondation Bill & Mélinda Gates;

- qui a d'abord été incapable de présenter son modèle aux autorités anglaises lorsqu'on lui a demandé d'où venaient ses prédictions, mais a fait intervenir en urgence les équipes de Microsoft pour lui produire un programme qui fonctionne.

Ses prévisions alarmistes ont été promues en France par Simon Cauchemez, qui a travaillé avec Ferguson. Le discours dès le début de l'année 2020 fut alors : il faut empêcher les interactions sociales au maximum, donc confiner, en attendant le vaccin. Le confinement n'a été mis en place que parce qu'il a été promu par un modèle mathématique qui s'est révélé par le passé complètement fantaisiste, et qui présuppose, sans preuve scientifique, que le confinement est efficace. La France est dans le même cas de figure que le Royaume-Uni.

Les Lockdown Files montrent qu'au Royaume-Uni, Matt Hancock est parfaitement conscient que les confinements ne servent absolument à rien et qu'ils ne sont qu'une réponse politique à une panique. En ce qui concerne la France, un article frauduleux a été publié par le journal scientifique Science prétendant mesurer la grande efficacité du confinement. Comme l'a montré Vincent Pavan, les deux signataires Simon Cauchemez et Arnaud Fontanet n'ont pas signalé leur conflit d'intérêt évident : en tant que membre du Conseil Scientifique, ils ont intérêt à justifier la décision de confinement qu'ils ont cautionnée.

De plus, Vincent Pavan a montré que les auteurs ont fait l'impasse sur un des résultats majeurs de leur analyse : l'étude prouve que les Français n'ont pas été soignés et sont décédés, non pas à cause du virus, mais par abandon. Cela se voit comme le nez au milieu de la figure avec la courbe présentant la durée entre l'entrée à l'hôpital et le décès : une énorme part de patient décède le jour de leur arrivée.
Ce n'est pas le résultat d'un virus fulgurant, mais une combinaison de la politique de non-soin et de mauvais choix thérapeutiques.
De surcroît, les auteurs ont maquillé la courbe de lissage pour masquer leur incapacité à trouver un modèle mathématique qui corresponde à leur discours. Il s'agit donc d'une fraude scientifique grave réalisée sciemment pour permettre aux auteurs de justifier leur opinion.

Tout ce qu'ont pu coûter les confinements, en termes d'abandon des plus fragiles, de souffrance psychologique ou de destruction de l'économie, n'est aucunement justifié par la science et surtout pas pour des questions de santé. Il s'agit de peur et de politique. Les dirigeants comme Matt Hancock le savent très bien, et ça les fait rire. 
**Les Lockdown Files, les "dossiers du confinement", sont un ensemble de 100 000 messages, échangés au cœur du pouvoir britannique via la messagerie WhatsApp, obtenus grâce à la journaliste Isabel Oakeshott. Divulgués au fur et à mesure de leur investigation par le journal britannique The Daily Telegraph depuis le 28 février 2023, ils offrent au grand public un éclairage unique quant aux choix et à la méthode opérés par l'exécutif anglais, dans le cadre de la gestion de l'épidémie de Sars-CoV 2.