Procès du Ministre de la Justice Merrick Garland qui lance des Menaces contre les Militaires du Conseil des Chapeaux Blancs (Jour 2) !
Le JAG a gracieusement accordé au détenu Merrick Garland un week-end prolongé, reprenant le procès militaire contre lui mardi au lieu de lundi, principalement parce que le Vice-Amiral Darse E. Crandall devait gérer ses affaires personnelles. Garland a reçu les livres qu'il avait demandés, des volumes traitant de la justice militaire et de la jurisprudence fédérale, à la recherche d'une échappatoire litigieuse qui pourrait l'exonérer ou lui épargner un voyage à la potence.
N'en trouvant aucun, il a demandé un deuxième report, affirmant qu'il n'avait besoin que de quatre jours d'études supplémentaires pour monter une soutenance pratique.
L'Amiral Crandall a rejeté la demande de Garland au motif qu'il avait passé 60 jours en détention, au cours desquels il aurait pu mémoriser de volumineux volumes juridiques et le Code uniforme de justice militaire.
À la reprise des débats mardi matin, l'Amiral Crandall a montré au jury une feuille de papier que les enquêteurs criminels avaient trouvée dans le tiroir du bureau de Garland après son arrestation.
"C'est une bonne chose pour nous, détenu Garland, que vous n'ayez jamais entendu parler d'une invention appelée déchiqueteur", a fait remarquer l'amiral Crandall.
"Je pensais que vous étiez des pros pour détruire des preuves incriminantes.
Travail d'amateur !"
Le document vieux de trois ans était apparemment un brouillon et ne nommait pas le destinataire prévu.
Le contexte était tout à fait transparent : Garland a qualifié Trump de "projet spécial" et a écrit que lui et son Ministère de la Justice déplaceraient des montagnes pour renverser Trump et son empire.
"S'occuper de Donald Trump est notre mission, et soyons clairs : si nous ne prenons pas soin de lui, il prendra soin de nous.
Je vais l'impliquer si profondément dans un litige qu'il souhaitera se retirer du golf.
Je vais le diffamer et saisir ses biens, y compris son précieux Mar-a-Lago.
Il sera laissé en ruine.
Je l'enterrerai si profondément devant un tribunal pénal qu'il fera faillite en se défendant.
Dans le même temps, nous frapperons ses alliés et ses partisans, en particulier MAGA et les évangéliques, et leur ferons regretter le jour où ils se sont engagés à le soutenir.
J'ai le pouvoir d'en faire une réalité.
Lorsqu'il aura souffert assez longtemps et souhaité sa mort, je lui accorderai peut-être cela.
Mais pas avant d'avoir compris le vrai sens du mot", lut l'Amiral à haute voix.
Garland s'y est opposé avec un argument peu plausible : il a déclaré qu'il n'était pas l'auteur de la page.