Les Forces Spéciales libèrent 6 Marines emprisonnés, dans le cadre de la Chasse aux Sorcières du Gouvernement Biden, qui auraient participé à la Manifestation du 6 janvier 2021 au Capitole !
Les Forces Spéciales américaines ont libéré mercredi six membres des forces armées que le régime criminel de Biden avait "détenus indéfiniment" pour avoir visité le Capitole le 6 janvier 2021.
Les six étaient détenus dans un centre de détention fédéral "secret" à Long Island, New York, et non dans les prisons de Washington avec d'innombrables autres manifestants pacifiques dont les droits constitutionnels ont été bafoués par le régime lorsqu'il a commencé à cibler non seulement les citoyens qui entraient dans le Capitole, mais aussi les passants innocents, ont déclaré des sources du bureau du général Eric M. Smith à Michael Baxter.
À l'heure où nous écrivons ces lignes, les autorités fédérales ont arrêté plus de 1.000 innocents dans le cadre de la prétendue insurrection ; 518 d'entre eux ont fait l'objet d'une litanie d'accusations Fédérales et 26 ont plaidé coupable d'obstruction, d'entrave ou d'interférence avec un agent de la force publique au cours d'un désordre civil - des accusations absurdes.
À l'heure où nous écrivons ces lignes, les autorités fédérales ont arrêté plus de 1.000 innocents dans le cadre de la prétendue insurrection ; 518 d'entre eux ont fait l'objet d'une litanie d'accusations Fédérales et 26 ont plaidé coupable d'obstruction, d'entrave ou d'interférence avec un agent de la force publique au cours d'un désordre civil - des accusations absurdes.
Le gouvernement a condamné dix personnes pour conspiration séditieuse, une infraction passible d'une peine de 20 ans d'emprisonnement.
Selon notre source, les Chapeaux Blancs n'ont aucune idée du nombre de provocateurs d'ANTIFA présents, mais ils savent avec certitude que les autorités fédérales ont ciblé les constitutionnalistes soutenant Trump en raison de leur affiliation à des entités - des milices légales, par exemple - que le gouvernement considère comme des "terroristes nationaux", une expression désormais utilisée pour vilipender toute personne qui s'oppose au discours du régime. L'administration criminelle a également appliqué ce terme au Groupe des Chapeaux Blancs de l'armée américaine.
Depuis le 6 janvier 2021, les Fédéraux ont arrêté et détenu sans caution 26 membres des Forces Armées en service actif.
Selon notre source, les Chapeaux Blancs n'ont aucune idée du nombre de provocateurs d'ANTIFA présents, mais ils savent avec certitude que les autorités fédérales ont ciblé les constitutionnalistes soutenant Trump en raison de leur affiliation à des entités - des milices légales, par exemple - que le gouvernement considère comme des "terroristes nationaux", une expression désormais utilisée pour vilipender toute personne qui s'oppose au discours du régime. L'administration criminelle a également appliqué ce terme au Groupe des Chapeaux Blancs de l'armée américaine.
Depuis le 6 janvier 2021, les Fédéraux ont arrêté et détenu sans caution 26 membres des Forces Armées en service actif.
Trois d'entre eux ont pénétré dans le Capitole mais n'ont causé aucun dommage ; l'un d'entre eux a posé un chapeau MAGA sur une statue.
Les 23 autres ont été considérés comme coupables par association.
Lorsque le Général Eric M. Smith a pris ses fonctions le 1er janvier 2023, il a promis de faire tout ce qui était en son pouvoir pour libérer les membres des Forces Armées emprisonnés à tort.
Lorsque le Général Eric M. Smith a pris ses fonctions le 1er janvier 2023, il a promis de faire tout ce qui était en son pouvoir pour libérer les membres des Forces Armées emprisonnés à tort.
Selon notre source, lui et le conseil des chapeaux blancs ont débattu de la question de savoir s'il fallait libérer tous les manifestants du 6 janvier 2021, mais ils ont décidé de ne pas le faire parce que les autorités Fédérales et la police de D.C. ont 500 agents et officiers - un véritable gaspillage de main-d'œuvre - qui gardent des installations abritant des partisans de Trump qui attendent toujours leur jour pour un procès dans un Tribunal Fédéral corrompu.
Le Général Smith a pris sa décision avec aplomb.
Il a estimé que le sang allait couler dans les rues.
"Le Général Smith a demandé au Président Trump de se tenir à ses côtés dans un discours commun exigeant la libération de tous les January 6ers, mais Trump lui a dit 'ce n'est pas le bon moment pour cela', mais il avait des renseignements intéressants", a déclaré notre source.
Le Président Trump aurait dit au Général Smith que tous les militaires détenus ne se trouvaient pas dans les prisons de Washington.
"Le Général Smith a demandé au Président Trump de se tenir à ses côtés dans un discours commun exigeant la libération de tous les January 6ers, mais Trump lui a dit 'ce n'est pas le bon moment pour cela', mais il avait des renseignements intéressants", a déclaré notre source.
Le Président Trump aurait dit au Général Smith que tous les militaires détenus ne se trouvaient pas dans les prisons de Washington.
Il avait entendu dire que six marines étaient détenus dans un Centre de Détention Fédéral clandestin à Uniondale, dans l'État de New York, dans un entrepôt abandonné que les autorités Fédérales avaient transformé en prison illégale.
Le Général Smith confirme rapidement l'existence du Centre et l'identité des marines qui s'y trouvent.
Il a également compris pourquoi les Fédéraux avaient isolé les six détenus : Au moment de leur arrestation, ils avaient des liens avec le Général David H. Berger.
Contrairement aux prisons de D.C., seule une poignée de Fédéraux gardait le site d'Uniondale.
Contrairement aux prisons de D.C., seule une poignée de Fédéraux gardait le site d'Uniondale.
Après s'être entretenu avec le commandant du 5e groupe de Forces Spéciales, le Colonel Brent Lindemen, le Général Smith a décidé qu'un détachement opérationnel Alpha des Forces Spéciales - des équipes d'élite composées d'opérateurs mûrs, intenses et très entraînés - sauverait ses garçons.
Le 8 mars 2023 à 2 heures du matin, les Forces Spéciales, à bord de véhicules civils, sont passées devant la prison et ont vu huit sentinelles portant des gilets du FBI et de la sécurité intérieure qui patrouillaient le long du périmètre.
Le 8 mars 2023 à 2 heures du matin, les Forces Spéciales, à bord de véhicules civils, sont passées devant la prison et ont vu huit sentinelles portant des gilets du FBI et de la sécurité intérieure qui patrouillaient le long du périmètre.
Elles se sont garées à proximité, puis ont franchi la clôture à mailles losangées qui entoure la prison.
Les Forces Spéciales ont tendu une embuscade aux sentinelles Fédérales, les tuant à l'aide de fusils et d'armes de poing équipés de silencieux.
Les cadavres avaient les clés de la porte, ce qui a évité aux Forces Spéciales d'avoir à installer des explosifs pour entrer.
La porte s'ouvre sur un couloir bordé de part et d'autre de cellules vides dotées de portes électromécaniques.
L'unité s'est divisée en deux groupes : la moitié a cherché une salle de contrôle tandis que l'autre moitié a cherché les Marines emprisonnés, en regardant à travers une petite fenêtre rectangulaire sur chaque porte de cellule.
La moitié à la recherche des Marines a dû tuer deux Fédéraux agités qui ont surgi au détour d'un couloir.
La moitié à la recherche des Marines a dû tuer deux Fédéraux agités qui ont surgi au détour d'un couloir.
Ils sont morts sur place - deux balles, deux morts.
Entre-temps, l'autre équipe avait trouvé la salle de contrôle au centre de l'entrepôt transformé en prison.
En fin de compte, seules 6 des 53 cellules étaient occupées - juste des Marines en très mauvaise santé, émaciés et déshydratés comme s'ils n'avaient pas reçu de nourriture ou d'eau depuis des jours, gisant sans énergie dans ce qui aurait pu être leur tombeau.
Un Marine aux yeux enfoncés avait été battu jusqu'au sang ; son visage était marqué de brûlures de cigarettes.
"Faites sortir mes Marines d'ici", a-t-il dit aux Forces Spéciales.
Les Forces Spéciales ont porté ceux qui étaient trop faibles pour bouger pendant qu'ils sortaient du bâtiment, tuant trois autres Fédéraux qui tentaient en vain de bloquer la sortie.
Les Forces Spéciales ont porté ceux qui étaient trop faibles pour bouger pendant qu'ils sortaient du bâtiment, tuant trois autres Fédéraux qui tentaient en vain de bloquer la sortie.
Ils ont écarté les corps criblés de balles et ont se sont exfiltré du bâtiment.
Selon notre source, les Marines ont été envoyés au Womack Army Medical Center, à Fort Bragg, pour y être soignés.
Interrogée sur les 21 membres des forces armées encore détenus par les autorités Fédérales, notre source a déclaré : "Le Général Smith est déterminé à ramener tous nos hommes à la maison.
Selon notre source, les Marines ont été envoyés au Womack Army Medical Center, à Fort Bragg, pour y être soignés.
Interrogée sur les 21 membres des forces armées encore détenus par les autorités Fédérales, notre source a déclaré : "Le Général Smith est déterminé à ramener tous nos hommes à la maison.
Ce ne sera peut-être pas aujourd'hui, ce ne sera peut-être pas demain, mais nous les ramènerons, et les responsables paieront."
"C'est une victoire", a-t-il ajouté.
"C'est une victoire", a-t-il ajouté.
"Nous aimerions pouvoir libérer tout le monde, mais le Général Smith a besoin d'une aide politique pour y parvenir.
Par Michael Baxter le 11 mars 2023 :
https://realrawnews.com/2023/03/special-forces-free-imprisoned-marines-who-visited-the-capitol-on-jan-6/
Par Michael Baxter le 11 mars 2023 :
https://realrawnews.com/2023/03/special-forces-free-imprisoned-marines-who-visited-the-capitol-on-jan-6/