Aux États-Unis, les porcs et des vaches ont été secrètement "vaccinés" avec des injections d'ARNm depuis 2018 sans Informer les Consommateurs !
Il y a quelques années à peine, l'idée que notre approvisionnement alimentaire pourrait être utilisé pour la thérapie génique afin de faire avancer un programme transhumaniste aurait semblé folle.
Pourtant, aujourd'hui, les mondialistes admettent ouvertement que c'est leur intention.
Big Ag a-t-il déjà lancé le plan en injectant aux porcs et aux vaches une thérapie génique par ARNm ?
Les producteurs de porc utilisent des "vaccins" personnalisables à base d'ARNm sur leurs troupeaux depuis 2018, sans en informer le public.
Tous les "vaccins" à ARNm personnalisés ne sont pas testés.
Les producteurs de porc utilisent des "vaccins" personnalisables à base d'ARNm sur leurs troupeaux depuis 2018, sans en informer le public.
Tous les "vaccins" à ARNm personnalisés ne sont pas testés.
Seule la plate-forme d'ARNm elle-même a été approuvée.
Selon l'American National Cattlemen's Beef Association : "Il n'existe actuellement aucun vaccin à ARNm autorisé pour une utilisation chez les bovins de boucherie aux États-Unis."
Selon l'American National Cattlemen's Beef Association : "Il n'existe actuellement aucun vaccin à ARNm autorisé pour une utilisation chez les bovins de boucherie aux États-Unis."
Pourtant, un lobbyiste de l'association affirme avoir "double-vacciné" son propre troupeau avec un "vaccin" à ARNm contre les maladies respiratoires bovines.
L'Iowa State University a commencé à tester un "vaccin" à ARNm contre le virus respiratoire syncytial bovin le 1er octobre 2021.
Missouri House Bill 1169 exigerait l'étiquetage des produits qui peuvent altérer vos gènes.
L'Iowa State University a commencé à tester un "vaccin" à ARNm contre le virus respiratoire syncytial bovin le 1er octobre 2021.
Missouri House Bill 1169 exigerait l'étiquetage des produits qui peuvent altérer vos gènes.
Les lobbyistes de Big Ag s'y opposent fermement.
Chez l'homme la Protéine Spike est présente au moins 60 jours et peut donc se transmettre pendant cette période, mais il n'y a pas de délai imposé pour le bétail entre la vaccination à ARNm et leur abattage, laissant entrevoir une transmission de cet ARNm animal vers l'homme et modifiant, peut-être, son ADN !
Mais il n'y a pas d'étude pour ces produits injectés depuis 2018 aux États-Unis alors que nous avons des accords commerciaux pour faire venir de la viande du Canada qui peut-être utilise aussi ces injections !