Le JAG condamne Lori Lightfoot, Maire de Chicago, à la Peine de Mort pour avoir imposer des Ordres Tyraniques pendant la Pandémie contre 10 millions de pots-de-vin !
Lori Lightfoot s'est comporté comme un babouin déchaîné mercredi matin en entrant dans la salle d'audience sud du GITMO et en se retrouvant face à face avec le Vice-Amiral Darse E. Crandall, qu'il n'avait vu qu'une seule fois, et brièvement, depuis son arrivée à Guantanamo Bay le 19 mars 2023.
Lightfoot a grogné, grogné et s'est retroussé les lèvres ; ses yeux fous se sont braqués sur l'Amiral.
Lightfoot a menacé de poursuivre l'Amiral Crandall pour atteinte à sa réputation et contrainte mentale, à hauteur de 100 millions de dollars pour chaque jour passé dans une cellule de Camp Delta.
Il a déclaré qu'il serait bientôt propriétaire du GITMO et qu'il le remplirait de partisans de Trump.
"La folie des grandeurs est courante chez vous", a déclaré le Vice-Amiral Crandall.
"La folie des grandeurs est courante chez vous", a déclaré le Vice-Amiral Crandall.
"Et par 'votre peuple', je fais référence à votre affiliation à l'État Profond, pas à votre race ou à la façon dont vous vous identifiez au genre", a-t-il précisé.
Comme indiqué précédemment, au moment de son arrestation, Lightfoot a fait une dépression émotionnelle et mentale, se dégageant de son pantalon et exhibant son sexe aux enquêteurs du JAG.
Comme indiqué précédemment, au moment de son arrestation, Lightfoot a fait une dépression émotionnelle et mentale, se dégageant de son pantalon et exhibant son sexe aux enquêteurs du JAG.
Il s'était opposé à ce que l'officier d'accueil note son sexe comme étant un "homme biologique".
Aujourd'hui, Lightfoot s'offusque des précisions apportées par l'Amiral.
"Je suis une femme", a crié Lightfoot.
"Vous êtes un détenu", lui a répondu l'Amiral Crandall.
Il avait commencé sa déclaration préliminaire, expliquant au jury que le JAG avait un témoin, un ancien employé du bureau du maire de Chicago, qui témoignerait que Lightfoot s'était vanté d'avoir reçu de l'argent en échange de l'application des fermetures de Covid - bien qu'il l'aurait fait gratuitement - lorsque le détenu Lightfoot l'a interrompu grossièrement.
"C'est une menteuse !"
"Détenu Lightfoot, je vais vous donner le même choix que j'ai donné à d'autres de votre espèce : respecter le tribunal ou être bâillonné", a déclaré l'Amiral Crandall.
"Vous ne me faites pas peur. Je serai entendu", rétorque Lightfoot.
Les deux gardes cachés derrière Lightfoot le menottent soudain et le bâillonnent.
Aujourd'hui, Lightfoot s'offusque des précisions apportées par l'Amiral.
"Je suis une femme", a crié Lightfoot.
"Vous êtes un détenu", lui a répondu l'Amiral Crandall.
Il avait commencé sa déclaration préliminaire, expliquant au jury que le JAG avait un témoin, un ancien employé du bureau du maire de Chicago, qui témoignerait que Lightfoot s'était vanté d'avoir reçu de l'argent en échange de l'application des fermetures de Covid - bien qu'il l'aurait fait gratuitement - lorsque le détenu Lightfoot l'a interrompu grossièrement.
"C'est une menteuse !"
"Détenu Lightfoot, je vais vous donner le même choix que j'ai donné à d'autres de votre espèce : respecter le tribunal ou être bâillonné", a déclaré l'Amiral Crandall.
"Vous ne me faites pas peur. Je serai entendu", rétorque Lightfoot.
Les deux gardes cachés derrière Lightfoot le menottent soudain et le bâillonnent.
Au bout d'une minute, l'Amiral Crandall convoque le témoin, l'ancien Maire Adjoint aux affaires intergouvernementales de Lightfoot.
Lightfoot a dû penser que l'amiral Crandall avait l'intention d'appeler une autre personne à la barre, car le témoin, Manny Perez, était un homme.
L'Amiral Crandall a posé quelques questions ordinaires, établissant les antécédents de M. Perez ainsi que son parcours scolaire et professionnel.
L'Amiral Crandall a posé quelques questions ordinaires, établissant les antécédents de M. Perez ainsi que son parcours scolaire et professionnel.
Il a ensuite demandé à M. Perez si le JAG lui avait promis quelque chose en échange de son témoignage.
"Non, monsieur, on ne m'a rien promis", a répondu M. Perez.
"Et pour que les choses soient claires, votre témoignage est volontaire, c'est bien cela ?"
"Oui, monsieur.
"Et pourquoi avez-vous décidé de témoigner aujourd'hui, M. Perez ?"
"Pour me donner bonne conscience, pour que les gens finissent par connaître la vérité sur Lori Lightfoot", a répondu M. Perez.
"Comment décririez-vous l'accusée, d'après le temps considérable que vous avez passé en sa présence ?", a demandé l'amiral Crandall.
"C'est une garce narcissique et prétentieuse qui pensait que Chicago lui appartenait, monsieur", a répondu M. Perez.
Lightfoot marmonnait dans son bâillon.
L'Amiral a posé d'autres questions anodines avant d'en venir au fait.
"Non, monsieur, on ne m'a rien promis", a répondu M. Perez.
"Et pour que les choses soient claires, votre témoignage est volontaire, c'est bien cela ?"
"Oui, monsieur.
"Et pourquoi avez-vous décidé de témoigner aujourd'hui, M. Perez ?"
"Pour me donner bonne conscience, pour que les gens finissent par connaître la vérité sur Lori Lightfoot", a répondu M. Perez.
"Comment décririez-vous l'accusée, d'après le temps considérable que vous avez passé en sa présence ?", a demandé l'amiral Crandall.
"C'est une garce narcissique et prétentieuse qui pensait que Chicago lui appartenait, monsieur", a répondu M. Perez.
Lightfoot marmonnait dans son bâillon.
L'Amiral a posé d'autres questions anodines avant d'en venir au fait.
"M. Perez, le 20 mars 2020 ou autour de cette date, l'accusé a-t-il parlé ouvertement d'accepter des pots-de-vin pour approuver et promulguer des bouclages illégaux et des ordres de confinement, appliquant de fait la loi martiale médicale ?
"Eh bien, monsieur, oui et non.
"Eh bien, monsieur, oui et non.
Elle s'est vantée d'avoir reçu un chèque de 10 millions de dollars du NIH, mais pour être exact, c'est le gouverneur Pritzker qui a émis une proclamation de catastrophe.
Lori a suivi son exemple", a déclaré M. Perez.
"Nous aurons bientôt affaire au gouverneur Pritzker", a déclaré l'amiral Crandall.
"Nous aurons bientôt affaire au gouverneur Pritzker", a déclaré l'amiral Crandall.
"À votre connaissance, M. Perez, le gouverneur Pritzker a-t-il ordonné à Lori Lightfoot d'ordonner à la police de Chicago de harceler, d'infliger des amendes et même d'arrêter les résidents sans masque ?
"Il ne l'a pas fait. C'était l'idée de Lori", a admis M. Perez.
"Et n'est-il pas vrai, M. Perez, toujours à votre connaissance, que le gouverneur Pritzker a demandé à Lori Lightfoot si le nombre de cas de Covid dans l'Illinois à l'époque justifiait un ordre de catastrophe, et que Lightfoot, faute de mieux, a dit au gouverneur Pritzker que leurs carrières politiques à tous les deux dépendaient de la réalisation de cet ordre ?"
"C'est vrai. J'ai entendu plusieurs appels téléphoniques dans ce sens."
"Mais il n'était pas obligé de suivre son conseil.
"Il ne l'a pas fait. C'était l'idée de Lori", a admis M. Perez.
"Et n'est-il pas vrai, M. Perez, toujours à votre connaissance, que le gouverneur Pritzker a demandé à Lori Lightfoot si le nombre de cas de Covid dans l'Illinois à l'époque justifiait un ordre de catastrophe, et que Lightfoot, faute de mieux, a dit au gouverneur Pritzker que leurs carrières politiques à tous les deux dépendaient de la réalisation de cet ordre ?"
"C'est vrai. J'ai entendu plusieurs appels téléphoniques dans ce sens."
"Mais il n'était pas obligé de suivre son conseil.
Il est le gouverneur, après tout, et Lightfoot n'était qu'un maire.
Ou était-elle plus que cela ?"
"De nombreux fonctionnaires de l'Illinois, à Chicago ou ailleurs, ont demandé conseil à Lori et l'ont généralement suivi", a déclaré M. Perez.
"Qui a eu l'idée de demander au Département de la Santé Publique de Chicago de mettre en place un programme de vaccination porte-à-porte dans les quartiers défavorisés de Chicago et de faire honte à ceux qui mettaient en doute l'innocuité des vaccins ?
"C'était l'idée de Lori.
"Et qui a eu l'idée de demander à la police de Chicago de faire des descentes dans les maisons pour s'assurer que toutes les personnes qui y habitaient y vivaient vraiment...
"De nombreux fonctionnaires de l'Illinois, à Chicago ou ailleurs, ont demandé conseil à Lori et l'ont généralement suivi", a déclaré M. Perez.
"Qui a eu l'idée de demander au Département de la Santé Publique de Chicago de mettre en place un programme de vaccination porte-à-porte dans les quartiers défavorisés de Chicago et de faire honte à ceux qui mettaient en doute l'innocuité des vaccins ?
"C'était l'idée de Lori.
"Et qui a eu l'idée de demander à la police de Chicago de faire des descentes dans les maisons pour s'assurer que toutes les personnes qui y habitaient y vivaient vraiment...
Laissez-moi vous expliquer.
La police s'est rendue dans 145 foyers en mars, avril et mai 2020, sur la base de conseils du type "si vous voyez quelque chose, dites-le", affirmant que les propriétaires avaient invité des membres de leur famille non résidents à des événements tels qu'un dîner de Pâques.
La police a perquisitionné ces maisons, arrêté ou condamné à une amende les propriétaires et les locataires, et mis à la porte les membres de la famille qui ne figuraient pas sur un bail, une hypothèque ou d'autres documents officiels.
Dans plusieurs cas, des personnes ont été mises en quarantaine de force. Pouvez-vous confirmer l'exactitude de ces informations et préciser qui a donné ces ordres ?"
"Oui, c'est vrai. Et c'était Lori", a déclaré M. Perez.
L'amiral revient sur le chèque de 10 millions de dollars.
"Oui, c'est vrai. Et c'était Lori", a déclaré M. Perez.
L'amiral revient sur le chèque de 10 millions de dollars.
"Avez-vous trouvé étrange, M. Perez, que l'accusée ait déclaré sans raison que le NIH lui avait donné dix millions de dollars ?
J'essaie de comprendre.
Il est certain que vous, ou quelqu'un d'autre, avez dû être curieux."
"Personne n'a rien eu à demander.
"Personne n'a rien eu à demander.
Elle a dit que c'était un cadeau pour avoir fait un excellent travail avec le Covid", a déclaré M. Perez.
Un beau "cadeau", plaisante l'amiral.
Un beau "cadeau", plaisante l'amiral.
"L'a-t-elle partagé avec le personnel ?
M. Perez rit : "Non, bien sûr que non !".
"Mais vous et tous ceux qui étaient au courant ont gardé le silence".
"Nous avons compris que ce qui se passait dans le bureau devait rester dans le bureau", a déclaré M. Perez.
L'amiral Crandall a remercié et excusé M. Perez.
Il a ensuite montré au jury une copie des relevés bancaires de M. Lightfoot entre mars et mai 2020.
M. Perez rit : "Non, bien sûr que non !".
"Mais vous et tous ceux qui étaient au courant ont gardé le silence".
"Nous avons compris que ce qui se passait dans le bureau devait rester dans le bureau", a déclaré M. Perez.
L'amiral Crandall a remercié et excusé M. Perez.
Il a ensuite montré au jury une copie des relevés bancaires de M. Lightfoot entre mars et mai 2020.
Les NIH ont effectué cinq dépôts de 2 millions de dollars au cours de cette période.
Ces dépôts ont été approuvés par le Dr Francis Collins, ancien Agent de l'État Profond et directeur des NIH, aujourd'hui décédé.
Il a expliqué à la commission qu'un Lightfoot vénal avait accepté les 10 millions de dollars dans le cadre d'un accord visant non seulement à influencer le gouverneur Pritzker, mais aussi à faire progresser le pouvoir militant de Lightfoot sur Chicago.
Le jury a rendu un verdict de culpabilité et a déclaré que Lightfoot devait être pendue à mort pour avoir trahi son serment professionnel, commis un acte de trahison et mis en péril ses électeurs.
L'amiral a fixé la date de l'exécution au vendredi 14 avril 2023.
Note : Je n'ai pas encore reçu de nouvelles de l'exécution. Je publierai un résumé dès que j'aurai reçu la confirmation.
Par Michael Baxter le 16 avril 2023 :
https://realrawnews.com/2023/04/jag-sentences-lori-lightfoot-to-death/
Il a expliqué à la commission qu'un Lightfoot vénal avait accepté les 10 millions de dollars dans le cadre d'un accord visant non seulement à influencer le gouverneur Pritzker, mais aussi à faire progresser le pouvoir militant de Lightfoot sur Chicago.
Le jury a rendu un verdict de culpabilité et a déclaré que Lightfoot devait être pendue à mort pour avoir trahi son serment professionnel, commis un acte de trahison et mis en péril ses électeurs.
L'amiral a fixé la date de l'exécution au vendredi 14 avril 2023.
Note : Je n'ai pas encore reçu de nouvelles de l'exécution. Je publierai un résumé dès que j'aurai reçu la confirmation.
Par Michael Baxter le 16 avril 2023 :
https://realrawnews.com/2023/04/jag-sentences-lori-lightfoot-to-death/