dimanche 10 septembre 2023

Le Forum Économique Mondial veut avoir le Monopole de la Censure !

Le Forum Économique Mondial (FEM) réclame des Pouvoirs pour réguler la Liberté d’Expression du Public en Ligne pour la Terre entière ! 


Le Forum Économique Mondial (FEM) exige que les régulateurs gouvernementaux et les entreprises technologiques du monde entier accordent à l’organisation mondialiste non élue le pouvoir de policer le discours du public en ligne. 
Le FEM cherche à réguler la parole en définissant quel langage doit être censuré. 
Klaus Schwab et ses alliés veulent dicter aux régulateurs, aux entreprises de médias sociaux et aux autres entreprises technologiques, leurs définitions de ce qui constitue un "discours de haine", de la "mésinformation" ou de la "désinformation".  
Il est intéressant de noter que le FEM ne mentionne pas la répression des propos qui pourraient être liés à des crimes graves tels que le terrorisme ou la maltraitance des enfants, et que l’organisation ne parle pas non plus de cibler les fausses informations. 
Apparemment, le FEM se préoccupe davantage de réprimer les discours politiques ou les informations susceptibles de nuire à son programme. 
Ces appels interviennent alors que le FEM continue à faire pression pour un contrôle accru du flux d’informations en ligne. 
Le groupe basé en Suisse a lancé à plusieurs reprises des appels en faveur d’un contrôle des discours non approuvés par le biais de l’intelligence artificielle (IA) ou de la censure en ligne. 
Schwab et ses alliés de l’élite mondiale ont montré à plusieurs reprises leur intérêt pour le contrôle de la parole, et donc du discours officiel, en ligne. 
Lorsqu’il s’agit de justifier la censure en ligne, les plateformes sociales de Big Tech utilisent fréquemment des termes vagues pour justifier la suppression et la censure de contenus, décrivant les informations "offensantes" comme de la "mésinformation" ou des "discours de haine". 
Cependant, elles n’expliquent jamais qui prend de telles décisions, sur la base de quelle autorité. 
Pour censurer les soi-disant "mésinformations", les entreprises de médias sociaux telles que Facebook font appel à des "vérificateurs de faits", qui sont généralement des journalistes de gauche ratés qui cherchent à dénigrer des journalistes plus performants qui traitent de sujets en conflit avec leurs propres opinions politiques peu convaincantes. 



Avec des limites vaguement définies, les "fact checkers" peuvent censurer des informations qui entrent dans les catégories de la "désinformation" ou de la "mésinformation" sans jamais avoir à prouver qu’elles sont fausses. 
En raison notamment de ce manque de clarté, de nombreuses personnes soupçonnent ces sites d’éviter de s’expliquer parce qu’il n’y a rien à expliquer. 
Les décisions de censure sont arbitraires et des modérateurs anonymes peuvent faire taire une personne, qu’elle exerce ou non son droit au premier amendement des États-Unis sur la liberté d'opinion. 
Ces tactiques sont clairement conçues pour servir une politique ou contrôler un récit plutôt que pour combattre la "mésinformation" redoutée. 
À mesure que les gens voient les vraies informations et la liberté d’expression réduites à néant, le public ne fait plus confiance à ces efforts pour prétendument "lutter contre la désinformation". 
Pour remédier à l’échec du programme de censure, le FEM a créé ce qu’il appelle la Coalition mondiale pour la sécurité numérique (GCDS). 
L’objectif déclaré de la GCDS est de définir six catégories de "contenus préjudiciables" qui doivent être censurés. 
Le FEM souhaite que les définitions énoncées par la GCDS soient utilisées pour faciliter "l’action multi-agences et transfrontalière". 
Dans ce document, le FEM/GCDS loue les efforts déployés par les bearcats non élus de l’Union européenne pour réprimer la liberté d’expression
Tout en reconnaissant la loi sur les services numériques (DSA) de l’Union européenne, la coalition du FEM veut s’arroger des pouvoirs pour fournir un "langage fondateur commun" à l’échelle mondiale. 
Le FEM estime que la portée de la loi sur les services numériques est limitée car, contrairement à la "typologie des préjudices en ligne", la législation de l’UE n’est pas mondiale. 
Agustina Callegari, chef de projet de la Coalition, insiste sur le fait que confier un tel pouvoir au FEM, qui n’est pas élu, est dans l’intérêt de tous. 
Agustina Callegari affirme que les efforts de censure du FEM seraient équilibrés en termes de "considérations juridiques, éthiques, sociales, technologiques et politiques".
Elle affirme également que le discours serait contrôlé en ligne d’une manière "ancrée dans les cadres internationaux des droits de l’homme". 
Le site web du FEM détaille les six catégories de définitions vagues qu’il entend contrôler.
Ces catégories sont les suivantes : 
• "Menaces pour la sécurité des personnes et des communautés"
• "Les atteintes à la santé et au bien-être"
• "Haine et discrimination"
• "L’atteinte à la vie privée"
• "Atteinte à la dignité"
• "Tromperie et manipulation", "désinformation" et "mésinformation".

Traduction de Slay News par Aube Digitale

Partagé par Jade le 10 septembre 2023 : 
https://www.aubedigitale.com/le-fem-reclame-des-pouvoirs-pour-reguler-la-liberte-dexpression-du-public-en-ligne/