Une étude révèle que 24 ans d’Espérance de Vie ont été effacés, pour des hommes de moins de 40 ans "entièrement boostés" !
L’étude visait à évaluer l’équilibre du risque pour les vaccins en établissant combien de temps les effets secondaires négatifs prennent pour réduire au fil du temps après qu’une personne reçoit chaque dose.
Cependant, les chercheurs ont constaté que les dommages ne diminuent pas avec le temps et, au lieu de cela, ils restent indéfiniment, augmentant à chaque injection dite de rappel.
Les données de mortalité totale des CDC ont montré que chaque dose de vaccin a augmenté la mortalité de sept pour cent en 2022 par rapport aux mêmes chiffres pour 2021.
Les données de mortalité totale des CDC ont montré que chaque dose de vaccin a augmenté la mortalité de sept pour cent en 2022 par rapport aux mêmes chiffres pour 2021.
Les données ont révélé que chaque année, chaque personne vaccinée devient de plus en plus susceptible de mourir à un taux de sept pour cent par dose, par an.
Cela signifie que les vaccins à ARNm et les injections de rappel sont un "poison génétique à action lente", selon l’étude.
L’étude a également constaté que le corps humain ne peut pas récupérer de toute quantité d’injections d’ARNm.
Donc, en prenant 2021 comme référence, une personne qui a reçu cinq doses serait 350% plus susceptible de mourir en 2031, 700% plus susceptible de mourir en 2041 et 1050% plus susceptible de mourir en 2051 qu’une personne non "vaxxed", [le terme vaxxed est utilisé ici pour différencier l’injection d’ARNm des vaccins classiques comme par exemple les virus désactivés].
Donc, en prenant 2021 comme référence, une personne qui a reçu cinq doses serait 350% plus susceptible de mourir en 2031, 700% plus susceptible de mourir en 2041 et 1050% plus susceptible de mourir en 2051 qu’une personne non "vaxxed", [le terme vaxxed est utilisé ici pour différencier l’injection d’ARNm des vaccins classiques comme par exemple les virus désactivés].
C’est comme les intérêts composés ! C
e résultat nous permet de calculer la perte d’espérance de vie d’un homme de 30 ans.
Si nous prenons l’espérance de vie moyenne pour les États-Unis, le Royaume-Uni et le Canada, les hommes devraient vivre jusqu’à environ 80 ans aujourd’hui.
Si nous prenons l’espérance de vie moyenne pour les États-Unis, le Royaume-Uni et le Canada, les hommes devraient vivre jusqu’à environ 80 ans aujourd’hui.
L’espérance de vie augmente avec le temps, mais nous pouvons utiliser 80 comme base de comparaison.
Sur la base des données actuelles sur l’espérance de vie, un homme de 30 ans non "vaxxed" devrait s’attendre à 50 autres années de vie.
Les résultats de l’étude montrent que l’espérance de vie d’une personne de 30 ans entièrement "vaxxed" – deux vaccins et trois boosters – est maintenant de seulement 56 ans.
Les résultats de l’étude montrent que l’espérance de vie d’une personne de 30 ans entièrement "vaxxed" – deux vaccins et trois boosters – est maintenant de seulement 56 ans.
Lorsque les données sont analysées par rapport au nombre de vaccins, l’étude montre :
1 injection a réduit de 13 ans l’espérance de vie des hommes de 30 ans
2 injections ont réduit de 18 ans l’espérance de vie des hommes de 30 ans
3 injections ont réduit de 20 ans l’espérance de vie des hommes de 30 ans
4 injections ont réduit de 23 ans l’espérance de vie des hommes de 30 ans
5 injections ont réduit de 24 ans l’espérance de vie des hommes de 30 ans
Entre-temps, les données sur les taux d’infection à la COVID-19 pour les 98 premiers jours à compter du 12 septembre 2022 ont été prises lorsque le vaccin bivalent a été offert pour la première fois aux employés de la clinique de Cleveland.
1 injection a réduit de 13 ans l’espérance de vie des hommes de 30 ans
2 injections ont réduit de 18 ans l’espérance de vie des hommes de 30 ans
3 injections ont réduit de 20 ans l’espérance de vie des hommes de 30 ans
4 injections ont réduit de 23 ans l’espérance de vie des hommes de 30 ans
5 injections ont réduit de 24 ans l’espérance de vie des hommes de 30 ans
Entre-temps, les données sur les taux d’infection à la COVID-19 pour les 98 premiers jours à compter du 12 septembre 2022 ont été prises lorsque le vaccin bivalent a été offert pour la première fois aux employés de la clinique de Cleveland.
Veuillez noter que le vaccin n’était pas obligatoire, mais offert.
Le même jour, 6.199 employés n’ont pas été vaccinés, 2.359 ont reçu une seule dose du vaccin contre la COVID-19, 13.804 ont été vaccinés deux fois, 20.798 ont reçu trois doses, tandis qu’au moins 3.538 ont reçu au moins quatre ou cinq doses du vaccin original.
Les résultats de l’étude ont révélé que plus une personne prenait de doses du vaccin original, plus elle était susceptible d’attraper la COVID-19.
Le même jour, 6.199 employés n’ont pas été vaccinés, 2.359 ont reçu une seule dose du vaccin contre la COVID-19, 13.804 ont été vaccinés deux fois, 20.798 ont reçu trois doses, tandis qu’au moins 3.538 ont reçu au moins quatre ou cinq doses du vaccin original.
Les résultats de l’étude ont révélé que plus une personne prenait de doses du vaccin original, plus elle était susceptible d’attraper la COVID-19.
Les résultats suggèrent que le vaccin original contre le coronavirus est non seulement inefficace contre l’omicron, mais aussi anti-efficace.
Les données montrent également que le vaccin ne fonctionne pas contre la souche actuelle de COVID-19.
Il peut endommager le système immunitaire d’une personne d’une manière dose-dépendante.
Cela signifie que plus les gens reçoivent de doses, plus cela endommagera leur système immunitaire.
Si les gens se remettaient de la première dose de vaccin contre la COVID-19, cela n’aurait pas le même effet que la cinquième dose, ce qui équivaut à une augmentation de sept pour cent de la mortalité.
C’est un problème à long terme parce que les gens ne se remettent pas des dommages causés par les injections en termes de mortalité excessive.
Si les gens se remettaient de la première dose de vaccin contre la COVID-19, cela n’aurait pas le même effet que la cinquième dose, ce qui équivaut à une augmentation de sept pour cent de la mortalité.
C’est un problème à long terme parce que les gens ne se remettent pas des dommages causés par les injections en termes de mortalité excessive.
La nouvelle survient alors que la Food and Drug Administration (FDA) du président démocrate Joe Biden vient d’approuver de nouvelles injections de rappel de Pfizer et de Moderna pour usage public.
Comme l’a rapporté Slay News, les nouveaux boosters d’ARNm sont maintenant recommandés pour toutes les personnes âgées de 6 mois et plus.