Des Écoquartiers devenus des "Escroquartiers" pleins de malfaçons et loin du fonctionnant dans l'Esprit Écologique dans la réalité !
Le mieux est toujours l’ennemi du bien dit la sagesse populaire et c’est tellement vrai pour tous les sujets qui concernent l’écologie et l’environnement !
Ce reportage de TF1 lève le coin du voile sur la réalité que l’on ne veut pas voir de toutes ces constructions plus ou moins miteuses que l’on qualifie pourtant de "durables", "écologiques" ou "basse consommation".
La réalité dès que l’on commence à massifier les choses est toujours beaucoup plus nuancée pour ne pas dire parfois calamiteuse.
"ENQUÊTE – Écoquartiers : derrière la façade écologique, les malfaçons !"
TF1 a enquêté sur les malfaçons qui empoisonnent la vie des habitants, loin de la promesse écologique de départ.
Sur le papier, le cadre de vie est idyllique.
La machine à laver, c’est la quatrième, le frigo pareil, la télé on vient de la changer !
Dans un appartement visité par notre équipe, les malfaçons électriques créent régulièrement des surtensions, martyrisant les appareils électriques de la locataire.
Il y a des gens qui n’ont pas de chauffage, il y a de la moisissure dans des chambres !
Un peu plus loin, dans un appartement du même immeuble, les matériaux défectueux ont laissé l’eau s’infiltrer partout, de la terrasse à la chambre à coucher.
Quand ce ne sont pas les logements, c’est parfois la vie en communauté qui ne coche pas toutes les cases de l’écoquartier, comme notre équipe l’a constaté à Strasbourg.
Il y a les principes d’écolos idéologues et la réalité !
L’idéologie c’est de croire qu’un potager partagé de quelques m² carrés va sauver la planète, mais c’est aussi de croire que tout le monde a envie d’alimenter les composteurs ou encore de bêcher les tomates pour les voisins.
L’idéologie c’est de croire qu’en disant "écoquartiers" cela allait changer les choses parce qu’il n’y avait pas de voitures en surface mais qu’en sous-sol… et puis finalement des voitures en surface parce que c’est cela la réalité.
Alors les mêmes vous diront que c’est normal. Que l’on n’est pas allés assez loin dans l’écologie et que si on veut que cela marche, il faut forcer les gens à composter, forcer les gens à vivre sans voiture, forcer les gens à cultiver les tomates du voisin dans son potager partagé devenu obligatoire.
Ce que je veux montrer ici, c’est que quand l’idéologie, aussi sympathique soit-elle au départ, et c’est évidemment le cas avec l’écologie, veut s’arroger le droit de nous dire comment vivre, alors elle devient inévitablement totalitaire et liberticide.
L’écologie actuelle nous conduit vers les khmers verts.
Et croyez-moi, quelle que soit la couleur du khmer, c’est toujours une potion amère.
Charles Sannat
"Insolentiae" signifie "impertinence" en latin
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