De nouveaux documents révèlent un complot du DHS pour attribuer des scores de Crédit Social aux Américains !
En mettant l'accent sur l'interaction entre la sécurité nationale et la vie privée des individus, des documents récemment divulgué sont dévoilé que le Département de la sécurité intérieure (DHS) avait conclu un contrat avec l'Université de l'Alabama à Birmingham (UAB) en 2018 pour développer un projet, baptisé "Night Fury", conçu pour analyser et attribuer des "scores de risque" aux comptes des médias sociaux.
Le Brennan Center for Justice a obtenu ces documents par le biais d'une demande d'archives publiques, et Motherboard a été le premier à en faire rapport.
Le projet Night Fury visait à utiliser l'automatisation pour détecter et évaluer les comptes de médias sociaux pour les liens avec le terrorisme, la distribution illégale d'opioïdes, mais aussi les campagnes de désinformation.
Le document du DHS indiquait : "L'entrepreneur doit développer ces attributs pour créer une méthodologie permettant d'élaborer un classement, ou 'Score de risque', associé aux comptes identifiés."
Le projet Night Fury avait également prévu d'intégrer la participation des douanes et de la protection des frontières (CBP), de l'immigration et des douanes (ICE), de la Transportation Security Administration (TSA) et des services de citoyenneté et d'immigration des États-Unis (USCIS) pour fournir un "contexte opérationnel inter-missions", selon l'un des documents.
Les experts avaient averti le DHS des difficultés inhérentes et des préjugés impliqués dans le jugement automatisé pour ces questions, citant que des caractéristiques telles que le fait d'être "pro-terroriste" n'ont pas de définition concrète.
Notamment, le DHS a mis fin au projet Night Fury en 2019.
Le document du DHS indiquait : "L'entrepreneur doit développer ces attributs pour créer une méthodologie permettant d'élaborer un classement, ou 'Score de risque', associé aux comptes identifiés."
Les experts avaient averti le DHS des difficultés inhérentes et des préjugés impliqués dans le jugement automatisé pour ces questions, citant que des caractéristiques telles que le fait d'être "pro-terroriste" n'ont pas de définition concrète.
Notamment, le DHS a mis fin au projet Night Fury en 2019.
Cependant, cela souligne l'intérêt continu de l'Agence pour les médias sociaux en tant que ressource d'analyse.
Cela fait suite à des rapports antérieurs selon lesquels le CBP utilisait un outil alimenté par l'IA, Babel X, pour analyser les médias sociaux des voyageurs aux frontières américaines.
Alors que Night Fury se concentrait initialement sur "la lutte contre le terrorisme, la chaîne d'approvisionnement illégale d'opioïdes, la criminalité transnationale et la compréhension/caractérisation/identification de la propagation de la désinformation par des entités étrangères", les documents indiquent que le travail de l'UAB était destiné à "s'étendre à d'autres domaines du DHS" et "créer des capacités de nouvelle génération".
Par Cindy Harper
Origine
Posté le 19/06/2023 par EraOfLight :
https://eraoflight.com/2023/06/19/new-docs-reveal-dhs-plot-to-assign-social-credit-like-scores-to-americans/
Alors que Night Fury se concentrait initialement sur "la lutte contre le terrorisme, la chaîne d'approvisionnement illégale d'opioïdes, la criminalité transnationale et la compréhension/caractérisation/identification de la propagation de la désinformation par des entités étrangères", les documents indiquent que le travail de l'UAB était destiné à "s'étendre à d'autres domaines du DHS" et "créer des capacités de nouvelle génération".
Par Cindy Harper
Origine
Posté le 19/06/2023 par EraOfLight :
https://eraoflight.com/2023/06/19/new-docs-reveal-dhs-plot-to-assign-social-credit-like-scores-to-americans/