60 Roquettes Chimiques au Gaz Sarin, aujourd'hui interdites, ont été volées dans un Dépôt d'Armes Sécurisé du Kentucky, avant leur Destruction !
Soixante roquettes chimiques ont disparu d'un dépôt d'armes chimiques de l'armée américaine dans le Kentucky la semaine dernière, alors que les travailleurs - militaires et entrepreneurs civils - se sont empressés de détruire les vieilles munitions conformément à la Convention internationale sur les armes chimiques, qui est entrée en vigueur en 1997 et à laquelle 193 pays ont adhéré.
L'immense dépôt "Blue Grass Army Depot" (BGAD) a abrité à un moment donné 51.000 roquettes M55 contenant de l'agent neurotoxique GB - également appelé sarin - qui reposaient, et parfois fuyaient, dans des bunkers sécurisés en béton et en terre répartis sur les 6.000 hectares du BGAD.
Les roquettes et autres agents neurotoxiques et vésicants se trouvaient à BGAD depuis les années 1940.
C'est au cours de la Première Guerre mondiale que les armes chimiques ont été utilisées pour la première fois dans la guerre moderne, où l'on estime qu'elles ont tué au moins 100.000 personnes.
C'est au cours de la Première Guerre mondiale que les armes chimiques ont été utilisées pour la première fois dans la guerre moderne, où l'on estime qu'elles ont tué au moins 100.000 personnes.
Bien que leur utilisation ait été interdite par la suite par la Convention de Genève, les pays ont continué à stocker ces armes jusqu'à ce que le traité appelle à leur destruction.
Le BGAD était l'un des deux derniers dépôts d'armes chimiques aux États-Unis, l'autre étant le dépôt chimique de l'armée de Pueblo, dans le Colorado, qui a mis hors service ses dernières armes le 22 juin de cette année.
Plus de 2.500 militaires et civils, prétendument titulaires d'une habilitation de sécurité appropriée, ont travaillé à l'étape finale de la campagne de destruction des armes chimiques de la BGAD.
Plus de 2.500 militaires et civils, prétendument titulaires d'une habilitation de sécurité appropriée, ont travaillé à l'étape finale de la campagne de destruction des armes chimiques de la BGAD.
La destruction a consisté à déplacer les fusées vers une usine sur site qui a été achevée en 2015 et a commencé à détruire les armes en 2019, en utilisant un processus appelé neutralisation pour diluer les agents mortels en vue de leur élimination.
Le 7 juillet 2023, un spécialiste CBRN de l'armée américaine (MOS 74D) en poste au BGAD a contacté le bureau du Colonel J.D. Keirsey, Commandant du 5e groupe de Forces Spéciales et membre du Conseil des Chapeaux Blancs, en disant qu'il devait discuter d'une question militaire cruciale.
Le 7 juillet 2023, un spécialiste CBRN de l'armée américaine (MOS 74D) en poste au BGAD a contacté le bureau du Colonel J.D. Keirsey, Commandant du 5e groupe de Forces Spéciales et membre du Conseil des Chapeaux Blancs, en disant qu'il devait discuter d'une question militaire cruciale.
L'adjoint du Colonel a demandé au soldat pourquoi il avait contacté les Forces Spéciales au lieu de suivre sa chaîne de commandement.
"Monsieur, je m'excuse pour le protocole inapproprié, mais je ne sais pas à qui je peux faire confiance.
"Monsieur, je m'excuse pour le protocole inapproprié, mais je ne sais pas à qui je peux faire confiance.
On m'a fait croire que je pouvais faire confiance à quiconque répondait à cette ligne", aurait déclaré le soldat.
L'adjoint l'a imploré de ne pas faire part de ses préoccupations sur une ligne ouverte et lui a indiqué comment envoyer un message crypté.
Dans ce message, le soldat se présente comme un spécialiste CBRN du BGAD chargé d'enregistrer les numéros de série des armes dont la destruction est prévue.
L'adjoint l'a imploré de ne pas faire part de ses préoccupations sur une ligne ouverte et lui a indiqué comment envoyer un message crypté.
Dans ce message, le soldat se présente comme un spécialiste CBRN du BGAD chargé d'enregistrer les numéros de série des armes dont la destruction est prévue.
Il a déclaré que les 60 roquettes à agent neurotoxique de GB dont la démolition était prévue pour vendredi (7 juillet 2023) n'étaient plus dans leurs racks de stockage où il les avait vues mercredi, ayant eu congé le jeudi.
Il a écrit que personne sur le site ne semblait particulièrement préoccupé par le fait qu'il ne pouvait pas expliquer où se trouvaient ces roquettes.
Il a décrit les règles strictes qui s'appliquent à la destruction des armes.
Les numéros de série sont vérifiés trois fois : avant qu'une arme ne quitte le bunker, lorsqu'elle est placée dans un camion pour le transport, et dans l'installation d'élimination.
Une fois l'arme détruite, son numéro de série, stocké et codé par couleur sur des appareils de type iPad, passe du rouge (munition vivante) au vert (munition détruite ou inerte).
"On a fait comme si ces roquettes n'avaient jamais existé", a-t-il écrit.
Le message a été envoyé au Colonel Keirsey, qui l'a transmis au Général Smith.
"On a fait comme si ces roquettes n'avaient jamais existé", a-t-il écrit.
Le message a été envoyé au Colonel Keirsey, qui l'a transmis au Général Smith.
Si l'histoire du CBRN était vraie, seul un membre du Département criminel de la Défense du Régime aurait pu purger les numéros de série d'une base de données restreinte et orchestrer le vol d'armes chimiques mortelles.
On ne peut pas simplement s'en aller avec des roquettes M55 sur l'épaule ; chacune pèse 38 kilos et mesurant près de 2 mètres de long.
On ne peut pas simplement s'en aller avec des roquettes M55 sur l'épaule ; chacune pèse 38 kilos et mesurant près de 2 mètres de long.
Le voleur devrait également coordonner le vol avec les gardes armés qui protègent les installations de stockage - un vol problématique.
Une source du bureau du Général Smith a déclaré à Michael Baxter que le Général avait confirmé la version des événements du CBRN, qui contredit les déclarations publiques des responsables du Régime.
Le Président illégitime Joseph R. Biden a déclaré vendredi que les États-Unis avaient détruit en toute sécurité tous les stocks de munitions chimiques, ajoutant : "Nous sommes maintenant débarrassés des armes chimiques".
Les Chapeaux Blancs qui enquêtent sur la disparition ont refusé de spéculer sur les raisons qui pousseraient l'État Profond à cambrioler des armes obsolètes, puisqu'il peut accéder à la technologie moderne avec une plus grande létalité.
Une source du bureau du Général Smith a déclaré à Michael Baxter que le Général avait confirmé la version des événements du CBRN, qui contredit les déclarations publiques des responsables du Régime.
Le Président illégitime Joseph R. Biden a déclaré vendredi que les États-Unis avaient détruit en toute sécurité tous les stocks de munitions chimiques, ajoutant : "Nous sommes maintenant débarrassés des armes chimiques".
Les Chapeaux Blancs qui enquêtent sur la disparition ont refusé de spéculer sur les raisons qui pousseraient l'État Profond à cambrioler des armes obsolètes, puisqu'il peut accéder à la technologie moderne avec une plus grande létalité.
Filibert : On pourrait penser que ces armements chimiques pourraient aller en Ukraine, mais l'État Profond veut d'abord supprimer son plus grand ennemi qu'est le Président Trump !
En faisant exploser un camion rempli des 60 têtes de roquettes contenant du gaz Sarin à proximité d'un meeting électoral de Trump rassemblant toujours des dizaines de milliers de ses Partisans, ils espèrent tuer Trump et des milliers de Patriotes !
En effet le soir, l'inversion des températures fait que les gaz resteront près du sol et même la présence d'une foule importante dégageant de la chaleur qui fera un appel d'air aux alentours, car l'air au-dessus du rassemblement montera, et donc si l'explosion est du bon côté du vent, de nombreuses personnes décèderont du neurotoxique !
Avec l'utilisation de plusieurs hélicoptères au-dessus du rassemblement, il serait possible d'apporter de l'air frais et de chasser les gaz Sarin, si l'attentat n'est pas déjoué à temps !
Espérons que les Chapeaux Blancs retrouvent ces roquettes mortelles !
Par Michael Baxter le 9 juillet 2023 :
https://realrawnews.com/2023/07/chemical-rockets-stolen-from-army-weapons-depot-in-kentucky/
Par Michael Baxter le 9 juillet 2023 :
https://realrawnews.com/2023/07/chemical-rockets-stolen-from-army-weapons-depot-in-kentucky/