L'État Profond recrute des Soldats Chapeaux Noirs directement au Lycée pour avoir une Armée soumise entrainée à tuer les Partisans de Trump !
La tromperie des Chapeaux Noirs s'étend des plus hauts échelons de l'échelle gouvernementale aux couloirs des lycées américains, où les recruteurs militaires promettaient aux enrôlés potentiels des récompenses non autorisées en échange d'un engagement criminel : Si le POTUS Joseph R. Biden, Barack Obama ou le secrétaire à la défense Lloyd Austin déclarent que Donald Trump et ses partisans sont des terroristes nationaux, ils doivent se tenir prêts à faire la guerre aux ennemis de la Constitution des États-Unis.
Comme indiqué cette semaine, les Chapeaux Blancs ont arrêté plusieurs officiers et sous-officiers corrompus stationnés à Fort Drum, dans l'État de New York, et à la caserne Rose de Vilseck, en Allemagne.
Ils ont également appréhendé 165 militaires qui participaient à des jeux de guerre à balles réelles, s'entraînant à tirer sur des cibles en bois drapées dans des vêtements MAGA (Partisan "Make América Great Again" "Faire de Nouveau une Grande Amérique").
Lorsqu'on leur a dit qu'ils risquaient l'emprisonnement à vie ou la pendaison, quelques-uns des 165 ont cédé aux interrogatoires et ont décrit un scénario si infâme qu'il a choqué les chefs des "Chapeaux Blancs", qui pensaient avoir déjà vu ce que l'État Profond avait de pire à offrir.
Les recruteurs militaires s'installent depuis longtemps dans les couloirs des lycées américains dans l'espoir d'inciter les élèves de terminale à repousser l'entrée à l'université et, au lieu de cela, à "être tout ce que vous pouvez être", en leur promettant qu'entre les salaires économisés pendant le service actif et le Pell Grant (aide financière accordée aux membres des forces armées qui s'engagent et terminent leur contrat initial), ils quitteraient l'armée avec suffisamment d'argent pour financer l'université sans s'endetter.
Les recruteurs reçoivent des primes basées sur des quotas non publiés.
Et si la plupart sont assurément des Sous-Officiers patriotes qui s'emploient à remplir les rangs, une minorité croissante s'est déshonorée en suivant les directives de l'État Profond pour constituer des armées privées de soldats haïssant Trump.
Le recrutement peu orthodoxe a commencé peu après l'élection volée de 2020 et l'élévation de Lloyd Austin au poste de Secrétaire à la Défense, lorsque les recruteurs ont commencé à visiter les écoles du centre-ville dans les quartiers à prédominance noire.
Par l'observation et la conversation, ces recruteurs ont choisi les lycéens qu'ils allaient approcher.
Lorsqu'on leur a dit qu'ils risquaient l'emprisonnement à vie ou la pendaison, quelques-uns des 165 ont cédé aux interrogatoires et ont décrit un scénario si infâme qu'il a choqué les chefs des "Chapeaux Blancs", qui pensaient avoir déjà vu ce que l'État Profond avait de pire à offrir.
Les recruteurs militaires s'installent depuis longtemps dans les couloirs des lycées américains dans l'espoir d'inciter les élèves de terminale à repousser l'entrée à l'université et, au lieu de cela, à "être tout ce que vous pouvez être", en leur promettant qu'entre les salaires économisés pendant le service actif et le Pell Grant (aide financière accordée aux membres des forces armées qui s'engagent et terminent leur contrat initial), ils quitteraient l'armée avec suffisamment d'argent pour financer l'université sans s'endetter.
Les recruteurs reçoivent des primes basées sur des quotas non publiés.
Et si la plupart sont assurément des Sous-Officiers patriotes qui s'emploient à remplir les rangs, une minorité croissante s'est déshonorée en suivant les directives de l'État Profond pour constituer des armées privées de soldats haïssant Trump.
Le recrutement peu orthodoxe a commencé peu après l'élection volée de 2020 et l'élévation de Lloyd Austin au poste de Secrétaire à la Défense, lorsque les recruteurs ont commencé à visiter les écoles du centre-ville dans les quartiers à prédominance noire.
Par l'observation et la conversation, ces recruteurs ont choisi les lycéens qu'ils allaient approcher.
Bien que le sentiment anti-Trump soit répandu dans les écoles des quartiers défavorisés de Chicago, Philadelphie et Washington, le mépris pour l'appareil militaire l'est tout autant, à tel point que les districts scolaires du pays ont fait pression, sans succès, pour interdire aux recruteurs d'entrer dans les établissements scolaires.
Par conséquent, les recruteurs malhonnêtes ont atténué leur discours ; ils ont approché les élèves sous le couvert de l'amitié, discutant d'abord de la vie ordinaire au lieu d'insister pour que les recrues potentielles s'engagent dans l'armée.
Ils tenaient un discours inoffensif sur le sport, les médias sociaux, la vie de famille, la situation financière et les problèmes de la vie dans les quartiers défavorisés.
Parfois, les recruteurs passaient des journées entières à cultiver des amitiés, à tisser des liens avec les étudiants et à gagner leur confiance avant de décider s'ils allaient passer à l'arène politique.
Si un étudiant manifestait de la sympathie, de l'ambivalence ou de la neutralité à l'égard du président Trump, les recruteurs se désengageaient et poursuivaient leur prochaine cible.
Ils ne voulaient pas perdre un temps précieux à faire basculer les élèves du côté obscur.
Mais si un étudiant exprimait une véritable animosité à l'égard de Trump, et surtout de ses partisans, les recruteurs intensifiaient la rhétorique.
On disait aux étudiants que même si Trump avait perdu les élections, son retour au pouvoir en 2024 ou avant était imminent parce qu'une partie importante de l'Armée lui était farouchement fidèle (la seule vérité que les recruteurs disaient).
Et lorsque cela se produirait, la phalange militaire de Trump décimerait les opposants politiques et civils, en particulier les minorités ethniques.
L'Armée avait besoin de soldats pour défendre la présidence de Biden, par la force si nécessaire, afin d'empêcher cette issue.
Si les étudiants n'aimaient pas Biden, les recruteurs leur disaient que Barack Hussein Obama était toujours en charge et qu'il avait besoin d'hommes courageux à ses côtés.
La fidélité est récompensée.
On leur a dit qu'en cas d'engagement réussi, un fonds d'affectation spéciale serait créé à leur nom, dans lequel les gens de Biden déposeraient 5.000 dollars par mois, indépendamment de la solde de base et remboursables à l'issue de leur contrat initial, dans des conditions honorables.
En cas de décès au combat contre des insurgés, un bénéficiaire désigné pourrait réclamer le fonds.
Les soldats endoctrinés dans le cadre du recrutement illégal se soumettaient aux rigueurs habituelles de l'enrôlement dans l'armée : ils passaient un examen de placement appelé ASVAP, dont les résultats déterminaient l'admissibilité d'un soldat à diverses professions militaires.
La plupart d'entre eux n'ont obtenu qu'un score assez élevé juste pour devenir fantassin, ce qui était sans aucun doute l'objectif des recruteurs sans scrupules.
En apparence, les engagements semblaient simples : Une formation en unité à Fort Benning, en Géorgie, puis des affectations permanentes.
Par conséquent, les recruteurs malhonnêtes ont atténué leur discours ; ils ont approché les élèves sous le couvert de l'amitié, discutant d'abord de la vie ordinaire au lieu d'insister pour que les recrues potentielles s'engagent dans l'armée.
Ils tenaient un discours inoffensif sur le sport, les médias sociaux, la vie de famille, la situation financière et les problèmes de la vie dans les quartiers défavorisés.
Parfois, les recruteurs passaient des journées entières à cultiver des amitiés, à tisser des liens avec les étudiants et à gagner leur confiance avant de décider s'ils allaient passer à l'arène politique.
Si un étudiant manifestait de la sympathie, de l'ambivalence ou de la neutralité à l'égard du président Trump, les recruteurs se désengageaient et poursuivaient leur prochaine cible.
Ils ne voulaient pas perdre un temps précieux à faire basculer les élèves du côté obscur.
Mais si un étudiant exprimait une véritable animosité à l'égard de Trump, et surtout de ses partisans, les recruteurs intensifiaient la rhétorique.
On disait aux étudiants que même si Trump avait perdu les élections, son retour au pouvoir en 2024 ou avant était imminent parce qu'une partie importante de l'Armée lui était farouchement fidèle (la seule vérité que les recruteurs disaient).
Et lorsque cela se produirait, la phalange militaire de Trump décimerait les opposants politiques et civils, en particulier les minorités ethniques.
L'Armée avait besoin de soldats pour défendre la présidence de Biden, par la force si nécessaire, afin d'empêcher cette issue.
Si les étudiants n'aimaient pas Biden, les recruteurs leur disaient que Barack Hussein Obama était toujours en charge et qu'il avait besoin d'hommes courageux à ses côtés.
La fidélité est récompensée.
On leur a dit qu'en cas d'engagement réussi, un fonds d'affectation spéciale serait créé à leur nom, dans lequel les gens de Biden déposeraient 5.000 dollars par mois, indépendamment de la solde de base et remboursables à l'issue de leur contrat initial, dans des conditions honorables.
En cas de décès au combat contre des insurgés, un bénéficiaire désigné pourrait réclamer le fonds.
Les soldats endoctrinés dans le cadre du recrutement illégal se soumettaient aux rigueurs habituelles de l'enrôlement dans l'armée : ils passaient un examen de placement appelé ASVAP, dont les résultats déterminaient l'admissibilité d'un soldat à diverses professions militaires.
La plupart d'entre eux n'ont obtenu qu'un score assez élevé juste pour devenir fantassin, ce qui était sans aucun doute l'objectif des recruteurs sans scrupules.
En apparence, les engagements semblaient simples : Une formation en unité à Fort Benning, en Géorgie, puis des affectations permanentes.
Environ six mois après avoir adopté une mentalité disciplinée et régimentaire, ils ont reçu des ordres de transfert les affectant à la 10e division de montagne à Fort Drum ou au 2e régiment de cavalerie à Vilseck, en Allemagne.
Là, ils ont été placés dans des pelotons dont les Officiers et les Sous-Officiers les ont informés de la raison de ce transfert soudain - remplir un serment constitutionnel de défendre la nation contre Donald Trump.
Les soldats actuellement en détention, du moins ceux qui ont avoué, ont déclaré que des agents du FBI en visite leur ont enseigné comment reconnaître les authentiques MAGA des Agents qui se font passer pour des MAGA, des gens comme Ray Epps.
Les soldats actuellement en détention, du moins ceux qui ont avoué, ont déclaré que des agents du FBI en visite leur ont enseigné comment reconnaître les authentiques MAGA des Agents qui se font passer pour des MAGA, des gens comme Ray Epps.
Les allées, les pas de porte et les boîtes aux lettres des Partisans connus de Trump ont été marqués avec une sorte de peinture qui serait luminescente lorsqu'elle est exposée à la lumière ultraviolette.
Si la guerre éclatait, l'Armée de Biden ne ferait aucun prisonnier, pas même les enfants, car ils pourraient devenir la prochaine génération de partisans de Trump désireux de se venger des assassins de leurs parents.
Une source du bureau du général Eric M. Smith a déclaré à Michael Baxter que les Chapeaux Blancs sont impliqués dans une mission minutieuse pour trouver et incarcérer tous les recruteurs, Officiers, Sous-Officiers et soldats qui ont fait l'engagement impie.
Par Michael Baxter le 4 août 2023 :
https://realrawnews.com/2023/08/deep-state-enlists-black-hat-soldiers-straight-out-of-high-school/
Si la guerre éclatait, l'Armée de Biden ne ferait aucun prisonnier, pas même les enfants, car ils pourraient devenir la prochaine génération de partisans de Trump désireux de se venger des assassins de leurs parents.
Une source du bureau du général Eric M. Smith a déclaré à Michael Baxter que les Chapeaux Blancs sont impliqués dans une mission minutieuse pour trouver et incarcérer tous les recruteurs, Officiers, Sous-Officiers et soldats qui ont fait l'engagement impie.
Par Michael Baxter le 4 août 2023 :
https://realrawnews.com/2023/08/deep-state-enlists-black-hat-soldiers-straight-out-of-high-school/