Les Marines arrêtent un Juge de la Cour suprême du Colorado qui a voté pour supprimer le Président Trump du bulletin de vote de l'État !
Les Marines américains ont arrêté mercredi pour trahison l'un des quatre juges de la Cour Suprême du Colorado qui ont voté en faveur du retrait du nom du président Donald J. Trump du bulletin de vote de l'État en 2024, a déclaré une source du bureau du Général Eric M. Smith à Michael Baxter.
Le Général Smith a envoyé des Marines au Colorado après que le Vice-Amiral Crandall a comparé l'arrêt de 230 pages de la Cour à la section 3 du 14e amendement, qui stipule que "Personne ne doit ... occuper un poste, civil ou militaire, sous les États-Unis ... qui, ayant précédemment prêté serment ... en tant qu'officier des États-Unis ... pour soutenir la Constitution des États-Unis, s'est engagé dans une insurrection ou une rébellion contre celle-ci, ou a donné de l'aide ou du réconfort aux ennemis de celle-ci."
Comme Trump n'a été ni accusé ni condamné pour insurrection, l'Amiral Crandall a décrété que les tergiversations de la Cour avaient déformé le texte du 14e amendement pour l'adapter à un programme : priver les habitants du Colorado de leur droit protégé par la Constitution de voter pour le candidat de leur choix, commettant ainsi une trahison à l'encontre des citoyens du Colorado et des États-Unis d'Amérique.
Le Général Smith a envoyé des Marines au Colorado après que le Vice-Amiral Crandall a comparé l'arrêt de 230 pages de la Cour à la section 3 du 14e amendement, qui stipule que "Personne ne doit ... occuper un poste, civil ou militaire, sous les États-Unis ... qui, ayant précédemment prêté serment ... en tant qu'officier des États-Unis ... pour soutenir la Constitution des États-Unis, s'est engagé dans une insurrection ou une rébellion contre celle-ci, ou a donné de l'aide ou du réconfort aux ennemis de celle-ci."
Comme Trump n'a été ni accusé ni condamné pour insurrection, l'Amiral Crandall a décrété que les tergiversations de la Cour avaient déformé le texte du 14e amendement pour l'adapter à un programme : priver les habitants du Colorado de leur droit protégé par la Constitution de voter pour le candidat de leur choix, commettant ainsi une trahison à l'encontre des citoyens du Colorado et des États-Unis d'Amérique.
Après avoir rédigé les Actes d'Accusation, l'Amiral a demandé au Général Smith d'appréhender les quatre Juges criminels.
Un rapport des services de renseignement a toutefois révélé que trois des quatre juges s'étaient "évaporés" pendant les vacances, immédiatement après avoir disqualifié Trump de la participation aux primaires de 2024.
Un rapport des services de renseignement a toutefois révélé que trois des quatre juges s'étaient "évaporés" pendant les vacances, immédiatement après avoir disqualifié Trump de la participation aux primaires de 2024.
Les Marines qui sont arrivés au Colorado mercredi après-midi ont confirmé le rapport après avoir établi une surveillance sur les maisons de Richard Gabriel, Melisssa Hart, Monica Marquez et William Hood.
Ce quatuor a déclaré avoir eu "peu de difficultés" à déterminer que les événements du J6 constituaient une insurrection et une rébellion déclenchées par le Président Trump.
Sur les quatre, seule la juge Monica Marquez, lesbienne et membre de l'association du barreau LGBT du Colorado, et diplômée de la faculté de droit de Yale, se trouvait à sa résidence publiquement répertoriée.
Sur les quatre, seule la juge Monica Marquez, lesbienne et membre de l'association du barreau LGBT du Colorado, et diplômée de la faculté de droit de Yale, se trouvait à sa résidence publiquement répertoriée.
Elle avait d'ailleurs pris la parole lors des "heures du conte drag queen" dans les bibliothèques pour enfants d'Aurora et de Denver.
Les maisons des trois autres juges étaient sombres, désertes et dépourvues de tout mouvement, ont rapporté les Marines au bureau du Général Smith.
"Le Général voulait s'emparer des quatre simultanément, mais il a décidé qu'un seul valait mieux qu'aucun et a demandé aux marines d'arrêter Marquez.
"Le Général voulait s'emparer des quatre simultanément, mais il a décidé qu'un seul valait mieux qu'aucun et a demandé aux marines d'arrêter Marquez.
Il s'est dit que les membres de l'État Profond revenaient toujours sur les lieux du crime et qu'il aurait une seconde chance plus tard.
Vous savez ce qu'on dit à propos des plans les mieux conçus des souris et des hommes".
Les Marines, a-t-il ajouté, ont observé le logement de Marquez pendant plusieurs heures jusqu'à ce qu'une femme non identifiée, probablement l'amante de Marquez, quitte les lieux.
Les Marines, a-t-il ajouté, ont observé le logement de Marquez pendant plusieurs heures jusqu'à ce qu'une femme non identifiée, probablement l'amante de Marquez, quitte les lieux.
Ils ont désactivé un système d'alarme sans fil, puis ont forcé la porte d'entrée et sont entrés en trombe, confrontant une Marquez effrayée, qui criait à tue-tête dans la cuisine.
"Je suis Juge à la Cour Suprême de l'État", a-t-elle déclaré alors que les marines montraient le Mandat d'Arrêt et lui passaient les menottes.
"Je suis Juge à la Cour Suprême de l'État", a-t-elle déclaré alors que les marines montraient le Mandat d'Arrêt et lui passaient les menottes.
"C'est Donald Trump qui vous envoie ?"
Une fois Marquez maîtrisée, les Marines ont fouillé la maison et confisqué plusieurs appareils électroniques et deux téléphones portables, dont l'un, selon notre source, contenait des photos de la famille Trump, y compris ce qui semblait être des photos clandestines de Baron et Melania à l'extérieur d'un magasin de détail à Palm Beach, en Floride.
"Il semble que quelqu'un les ait suivis et pris leurs photos.
Une fois Marquez maîtrisée, les Marines ont fouillé la maison et confisqué plusieurs appareils électroniques et deux téléphones portables, dont l'un, selon notre source, contenait des photos de la famille Trump, y compris ce qui semblait être des photos clandestines de Baron et Melania à l'extérieur d'un magasin de détail à Palm Beach, en Floride.
"Il semble que quelqu'un les ait suivis et pris leurs photos.
Personne ne sait pourquoi Marquez voulait ces photos, car elle a refusé de parler depuis qu'elle a été placée en garde à vue.
Nous l'avons placée en lieu sûr jusqu'à ce qu'elle soit bientôt transférée au GITMO", a déclaré notre source.