mercredi 13 mars 2024

Archange Raphaël : Les Guerriers de la Lumière se révèlent !

Archange Raphaël : Nous envoyons toute notre Lumière, tout notre Amour, et nous aussi nous prions et nous disons : "Ecoutez-nous ! Recevez cette Lumière !" 


Bonsoir enfants de la Lumière. 
A vos côtés en ce moment, je suis l’Archange Raphaël, le Guérisseur disent certains. 
Je l’espère avec vous, je l’espère pour vous… 
Lorsque je dis "je l’espère", cela signifie que j’aimerais déposer notre énergie bienveillante sur chacun d’entre vous, et que chacun d’entre vous guérisse de ma Présence, de l’énergie de la douce Flamme émeraude, verte, que j’essaie de répandre dans ce monde. 
De plus, lorsque je dis ces mots, lorsque je dis ʺJ’espèreʺ, je pose le fait que vous êtes aussi votre propre guérisseur, et que si vous n’acceptez pas les énergies qui vous sont parfois envoyées du Ciel, eh bien, vous ne les recevrez pas. 
Votre pouvoir humain, votre pouvoir Divin est dans votre capacité à accepter ou à refuser un message et une énergie, qu’elle soit curative ou non. 
Car derrière chaque message que nous envoyons, comme derrière chaque message que vous recevez d’un de vos frères, d’une de vos sœurs, des médias, des gouvernements, chacun de ces messages vous invite à l’accepter ou à le refuser. 
Le refuser signifie que vous ne voulez pas que ce soit votre propre vérité, sans l’imposer aux autres. 
Il est important de comprendre que l’Amour, cette force immense, n’est pas nécessairement un grand OUI à tout. 
Pour beaucoup d’entre vous, vous êtes des parents, des frères ou des sœurs qui ont su dire non à leurs enfants, à leurs frères ou à leurs sœurs lorsqu’ils commettaient des actes qui n’étaient pas corrects. 
Vous n’êtes pas dans le sens de la Lumière, pas dans le sens de ce partage, de cet amour et de cette communion. 
A ce moment-là, vous avez pu dire non. 
C’est aussi votre force. 
Et cela ne veut pas dire que vous ne les aimez pas, au contraire, vous les aimez tellement que vous ne pouvez pas tout accepter. 
Il est important de comprendre qu’accepter ce qui est ne signifie pas dire oui à tout. 
Ainsi, dire non ne signifie pas exclure une réalité ou se trouver dans une position de déni, de refus : "Non, cela n’existe pas. Non, ce n’est pas vrai. Non, c’est une illusion." 
Bien sûr votre monde est illusoire, cependant il aura, ce monde, des impacts sur l’énergie que vous avez décidé d’incarner, et c’est ainsi que votre présence est demandée. 
Votre présence divine est demandée sur cette Terre, dans cette illusion. 
Alors, s’il vous plaît, ne soyez pas dans le déni. 
Sachez dire non quand c’est important. 
Sachez aussi accepter les forces bénéfiques qui viennent en permanence, et j’insiste sur ces mots en permanence, de ce que vous appelez encore le Ciel, l’Au-delà, l’Autre Dimension.

Acceptez de recevoir des forces qui sont des forces évolutives et non des forces involutives. 
Acceptez de les recevoir d’autant plus maintenant que ce sont des forces qui vont favoriser la Paix, l’Amour, le partage, la bienveillance, alors que nous essayons de vous amener à la guerre, au repli, à la peur. 
Et je dirais même à la méchanceté, et à vouloir du mal à une partie de la population par rapport à une autre, cherchant sans cesse à vous diviser en catégories, dont chacune chercherait à défendre sa petite place parmi la grande, dira-t-elle toujours, alors qu’il n’y a pas de petite ou de grande place, seulement des êtres humains en conjonction dans une grande expérience d’Amour qui s’appelle l’existence. 
C’est le temps, l’époque, où les vrais guerriers de la Lumière se révèlent à l’humanité, où nous allons maintenant voir se lever des êtres capables de prononcer un non salutaire, un non bienveillant, un non plein d’Amour. 
Ce sont des êtres capables de prononcer un non salutaire, un non bienveillant, un non plein d’amour, non en aucune façon dans un combat mais dans un positionnement, une certitude et une force qu’il est temps de placer sur ce monde et dans votre espace personnel parfois, car le monde commence dans votre maison, dans votre maison intérieure et extérieure. 
Ce monde est pure Lumière, les jeux d’ombre y révèlent ce que vous avez certainement encore à travailler dans cette force d’Amour qui vous est demandée, force si puissante qu’elle pourrait vous permettre de tout transformer en un instant. 
Alors, cette attaque des forces réductrices, des forces évolutives, est là aussi pour vous révéler à votre propre Lumière, à votre propre courage, pas le courage de faire la guerre, ce n’est pas du courage, au contraire, le courage de vouloir la paix, de savoir que cette paix quelque peu imposée est déterminante, c’est du courage. 
Le courage, le cœur à l’ouvrage, le cœur va-t-il à toutes les batailles ? Non, pas forcément – pour certains oui, sans doute – détruire n’est jamais un acte Divin, cela ne va pas dans le sens de l’Amour. 
La construction va dans le sens du Divin. 
Vous savez, ici, il s’agit de ne pas confondre courage et vaillance. 
Oui, il faut être vaillant pour se battre, et "à cœur vaillant, rien d’impossible" disait un de vos ancêtres. 
Vous êtes dans cette ère, dans cette époque où vous ne devez plus rester passif vis-à-vis de vous-même, et à l’inverse être actif vis-à-vis de VOTRE monde. 
Je n’ai pas dit, nous n’avons pas dit ʺvers LE mondeʺ mais vers SON monde et, je le répète, c’est important, votre monde commence chez vous. 
Je ne parle pas du corps, je parle de votre maison, de votre appartement, de votre village, de votre ville, de votre circonscription, de votre département, de votre province, peu importe. 
Commencez à placer votre esprit et votre volonté là où vous avez un "rayonnement", une résonance. 
Faites-le debout. Ne restez pas passif. 
Arrêtez de regarder des images ou des textes et de vous dire qu’ils sont beaux, gentils ou, au contraire, qu’ils sont horribles et qu’il faut faire quelque chose. 
Faites-le ! Faites-le.
Priez, marchez, dansez. 
Surtout, offrez le mouvement de votre nature Divine à ce monde, parce que dans le mouvement vous recevrez cette énergie du Ciel, dans le mouvement vous recevrez cette énergie unificatrice qui vous tombe dessus en ce moment. 
Et je vois moi-même beaucoup de gens refuser cette énergie céleste, parce qu’ils penchent vers cette solution de "nous n’avons pas le choix. 
Nous ne pouvons rien faire. 
On voudrait bien, mais on ne peut pas."  
"C’est faux, c’est faux !"

Lève-toi, enfant de Lumière, vois comme tu es merveilleux et Divin ! 
Regarde comme ta nature Divine profonde est forte et puissante ! 
Ne crois plus en rien d’autre qu’en ta propre Lumière, après tout. Regarde-toi. 
Observe-toi, enfant de la Lumière. 
Tu as choisi de t’installer et de vivre dans un monde duel, dans un monde difficile, dans un monde éprouvant, donc un monde d’épreuves, pas un monde de souffrance systématique mais un monde d’épreuves. 
N’en doutez pas. 
Quel courage, justement, quelle Lumière et quelle force il faut avoir pour accepter de vivre, là, ici, maintenant ! 
Comme en d’autres temps encore très éprouvants. 
J’ai vu certains d’entre vous dans d’autres temps, dans d’autres espaces, dans d’autres époques, et je vois les mêmes schémas se répéter souvent. 
"Je me demande si je vais agir ou réagir."  
"La clé est là : Votre pouvoir est dans l’action, pas dans la réaction." 
Votre capacité est d’émettre de la Lumière, pas d’attendre qu’elle tombe du Ciel. 
Elle vous assistera, elle sera énergie pour que vous soyez Lumière, vous, cette force du Ciel. 
Vous êtes la Lumière de ce monde. 
Ne vous préoccupez donc pas des mouvements d’énergies, des mouvements de troupes, même des mouvements intellectuels à l’intérieur de vous. 
Laissez tomber cette agitation. 
Choisissez. Levez-vous. Lève-toi. 
Homme, lève-toi. 
Femme, lève-toi. 
Enfant, lève-toi, car le Ciel est là, qui te répète que ce monde dont tu rêves est plus que jamais à ta portée, malgré les apparences. 
Le temps et les temps vous amèneront à montrer votre valeur lumineuse, votre capacité à aider, à progresser, à faire progresser vos frères et vos sœurs, vos voisins d’abord. 
Il s’agira d’être dans ce vrai courage qui est de traverser ensemble les zones d’adversité. 
Alors il y a tous ces Êtres déjà unis dans la Lumière, déjà unis dans l’Amour qui sont autour de vous. 
Il y a toute cette Nature dont vous voyez qu’elle recommence à se développer, à revivre, à fêter, à donner tant de raisons de continuer à fructifier. 
Elle nous invite cette Nature, elle nous invite cette vision du monde à se relever aussi. 
Elle nous invite à refleurir, à croire en la Nature, à ne désespérer de rien. 
Après vous avoir dit que oui, l’heure est au courage, je veux vous dire que ce monde reçoit énormément de Lumière, énormément d’Amour. 
Par conséquent, il s’agit de regarder, de voir l’invisible, de percevoir l’invisible, non pas notre assistance angélique, elle est là bien sûr, mais ce qui se passe dans le monde visible : ces êtres qui commencent à décontaminer la planète, ces êtres qui s’entendent parfaitement entre eux sans chercher à créer des différences, ces êtres qui sont dans le partage et la bienveillance, et qui commencent à se rendre compte que les ressources qu’ils ont en trop peuvent être partagées, données, distribuées encore et encore et encore.

Je voudrais vous dire que le jardin d’Eden est à portée de main, je ne peux que vous dire que vous êtes sur ce chemin. 
Vous êtes sur cette route, vous êtes sur ce chemin. 
Et puis, je voudrais apporter ma Lumière à cette apparence qu’est votre corps. 
Là, je voudrais déposer sur vous ces particules de Joie, ces particules d’Amour. 
Rappelez-vous concernant votre corps qu’il y a une matrice parfaite, qu’il y a un modèle de votre corps qui est en parfaite santé, en parfaite harmonie, en parfaite adéquation, comme neuf diriez-vous. 
Ce modèle est présent dans une dimension déjà présente sur Terre. 
C’est pourquoi vous êtes invités à vous dire quelques mots parfois, vraiment avec une foi totale, une sorte de connaissance absolue de ces mots :
"J’accepte de recevoir la matrice originelle et parfaite de mon corps, pour cette incarnation. 
– J’accepte de recevoir la matrice parfaite de mon corps pour cette incarnation." 
Ce sont des mots qui acceptent. 
Alors peut-être devrions-nous poser cette question : qu’est-ce qui, en vous, n’accepte pas d’être en parfaite santé, en parfaite condition, dans un monde de grande bienveillance ? 
Qu’est-ce qui, en vous, ne l’accepte pas ? 
Quelle est cette partie de vous qui ne l’accepte pas ? 
Cette partie est celle qui ne peut pas être pardonnée. 
C’est celle qui n’a pas pardonné un événement du passé, du présent ou du futur. 
C’est celle qui cherche encore des coupables et surtout en vous-même parfois. 
Cette auto-culpabilisation, cet auto-sabotage, c’est ce qui peut vous empêcher d’atteindre cet état, cette énergie. 
Acceptez de vous pardonner. 
Pardonnez-vous d’abord de croire que vous n’êtes que le corps. 
Pardonnez-vous. 
Comprenez que vous êtes bien plus qu’un corps.

Vous savez, lorsque vous rêvez, lorsque vous êtes dans des états dits modifiés de conscience, vous êtes capable de penser et d’interagir avec ce monde, en pensées. 
Et là, je vous pose cette question, mes amis, pensez-vous que vos pensées sont dans votre corps ? 
Pensez-vous que vos pensées sont dans un réservoir à l’intérieur de votre cerveau ? 
Pensez-vous que votre raisonnement est également une sorte de câblage, de câblage neuronal, diriez-vous ? 
Non. En vérité, aucune pensée n’est dans le corps. 
Dans le corps, il y a un personnage, un ego, qui est comme un fantôme dans cette machine, qui la maintient en vie. 
Le rôle de l’ego est aussi de maintenir le temps stable, puisque la nuit, puisque le jour, dans différents moments difficiles, vous vous évadez, vous imaginez. 
Et pendant que votre esprit va ailleurs, il n’y a plus de temps. 
Vous n’êtes plus dans le même temps. 
Lorsque vous revenez dans votre corps, il faut que l’expérience soit cohérente, il faut que l’expérience soit entière, et c’est là que cet ego vous repositionne dans le bon temps et dans le bon espace. 
En fait, cet ego se trouve dans le corps mental, qui est lui-même dans le corps physique. 
Il sert à positionner votre esprit ici, mais ce ne sont pas des pensées. 
Il n’est pas vos pensées. 
Il raisonne avec vos pensées, c’est-à-dire que vous entendez des pensées, et derrière, vous entendez ce jugement de cette énergie qu’on peut appeler l’ego, qui va trouver que votre pensée est correcte ou pas correcte, qu’elle est juste, qu’elle n’est pas juste. 
Vous vous jugez donc vous-même ? 
Que se passe-t-il dans un tel état ? Posez-vous la question. 
En vérité, vos pensées proviennent d’une partie de vous qui est à l’extérieur de vous. 
Vos pensées viennent d’une partie de vous-même qui est déjà avec nous, qui est déjà dans ce que vous appelez dans l’Au-delà, de plus, vos pensées viennent aussi de cet esprit supérieur, de ce Soi supérieur, de cette Conscience supérieure qui est votre véritable parent. 
De ce fait, vous ne produisez pas réellement vos pensées, vous les entendez. 
C’est difficile à entendre, je sais que ce discours est difficile à comprendre. 
Vous entendez vos pensées. 
Quelles sont donc vos pensées ? 
Eh bien, vous envoyez un état émotionnel comme une sorte de message. 
Votre état émotionnel, la somme de vos énergies, est reçu par votre conscience supérieure qui répond finalement en disant : ʺvous rayonnez ou dites ceciʺ. 
Enlevez donc ce "vous dites", et vous n’entendez finalement que la fin d’un message que vous appelez vos pensées. 
Même si vous étiez en ce moment en train de penser "je ne comprends pas ce que dit cet Archange", c’est qu’à un moment donné vous aurez exprimé l’émotion qui exprime quoi, des points d’interrogation, une sorte de pression, une sorte de déséquilibre en vous que vous aurez envoyé comme énergie à l’univers. 
Et l’Univers va répondre : ʺAh ! Tu ne comprends donc pas Raphaëlʺ, ce qui va se traduire depuis ta conscience égoïque justement, depuis cette partie égoïque, par ʺvous ne comprenez pasʺ, "je ne comprends pas". 
Dès lors, vos pensées sont un système de réception de votre émotion. 
Travaillons là-dessus si vous le voulez bien car nous allons comprendre à quel point c’est important.

Nous allons maintenant faire ensemble un petit exercice qui va simplement générer une émotion. 
Nous n’allons pas penser, réfléchir ou dire un seul mot, mais simplement nous mettre dans un état vibratoire émotionnel. 
Vous pouvez donc fermer les yeux et imaginez simplement que vous avez un enfant devant vous : un enfant aux yeux pleins de Lumière, un enfant aux yeux pleins d’Amour, un être qui est là, qui a quelques années. 
Le regard de cet enfant est si pur, si grand. 
Et vous voyez, vous percevez, cet enfant qui s’approche de vous. 
Il vient vers vous comme s’il ne vous avait pas vu depuis si longtemps, et vous pourrez le prendre dans vos bras. 
Voyez les pensées qui viennent maintenant. 
Dans quel ordre sont-elles ? 
C’est merveilleux ! 
Je l’aime et il m’aime, ou je l’aime et elle m’aime ! 
Ces pensées sont une réponse à votre émotion. 
Ces pensées sont une réponse à votre énergie. 
Notez que cela a une cause et une conséquence physiologiques dans votre corps. 
Ce que vous avez produit comme émotion, ce que vous avez ressenti, récupéré comme émotion et comme pensée a un impact sur votre corps. 
Peut-être certains d’entre vous sont-ils frustrés, simplement parce qu’ils n’ont pas réussi à visualiser ce que je viens de dire. 
Ainsi, leur pensée leur a dit "je ne vois rien, je n’entends rien, je ne peux jamais visualiser", et cette pensée a déjà eu un impact sur votre corps. 
Cela a déjà créé un état émotionnel puissant en vous. 
Je vous dis cela pour que vous vous rendiez compte que finalement, dans une grande majorité des cas, ce sont vos pensées, l’acceptation de celles-ci qui provoquent des états de corps, qui provoquent donc la plupart du temps, concrètement, des états de dysfonctionnement du corps également lorsque vous acceptez trop de pensées perturbatrices qui, somme toute, ne font que poser une question, en l’occurrence ne pas mettre un terme à votre réflexion. 
Parfois, vous entendez même une pensée en vous comme » mais alors, je dois vraiment être stupide » et vous vous arrêtez là. Ne vous arrêtez pas là. 
Ne vous rendez pas malade justement de ce mot qui est faux, puisqu’il est là pour que vous soyez capable de rebondir, de vous relever comme je l’ai dit précédemment, et de vous dire : "Non, non, je ne suis pas stupide. Je suis dans ma façon de penser. 
Je suis peut-être dans mon monde, dans ma définition du monde, mais non, je ne suis pas stupide. 
Je suis la fille, le fils du Divin."

Qu’est-ce qu’être stupide, sérieusement ? 
Comprenez donc que vos pensées dans votre tête sont en fait des propositions, de simples propositions. 
Voyez vos pensées complètement différemment. 
Prenez le temps de vous arrêter de temps en temps. 
Est-ce que j’accepte ma pensée, est-ce que je la refuse ? 
Et au lieu de refuser, vous pourriez dire : est-ce que je vais la changer ?
"J’ai l’impression que le monde va droit à la catastrophe". 
Ce n’est pas vrai. 
Il ne va pas à la catastrophe, ce monde se transforme. Oui. 
Ce monde s’améliore aussi. Oui. Oui. 
Je sais que vous voulez dire non. 
Je sais que tu as des pensées contradictoires comme "Non, il ne va vraiment pas mieux.  
C’est même pire chaque jour." 
C’est une erreur. Prenez du recul, mes amis. 
Vous voyez, chaque fois qu’il faut reconstruire quelque chose, il faut détruire quelque chose. 
C’est le sens même de l’enseignement d’un autre être appelé Shiva, une destruction doit se produire pour qu’une construction apparaisse. 
Il faut que quelque chose soit au plus mal pour s’améliorer.

Vous en avez fait l’expérience même dans le processus d’autoguérison de votre corps, un processus puissant, un processus important. 
Avant d’entrer dans ce processus d’autoguérison, vous passez souvent par une phase que vous appelez aiguë de la maladie. 
Pendant quelques heures ou même quelques jours, vous serez peut-être au plus fort de la fièvre, des tremblements, de la faiblesse, et immédiatement après, votre énergie augmentera. 
Votre "bataille" intérieure aura été gagnée. 
Il faut passer par cette phase aiguë. 
Il ne faut pas l’ignorer, sous peine de créer, tôt ou tard, une maladie plus grave. 
De la même manière, acceptez que le monde soit un système qui s’auto-guérit, sauf qu’il passe par un paroxysme ici aussi, pour créer son autodéfense, pour pouvoir mobiliser ses troupes blanches. 
Dans votre corps, vous parlez de globules blancs, je vais vous parler de cette Fraternité Blanche que vous êtes aussi finalement, dont beaucoup d’entre vous font partie. 
Il s’agit d’être les anticorps de ce monde, ceux qui ne s’arrêteront pas parce que ce qui semble s’opposer à eux est trop grand ou trop difficile, vraiment ceux qui savent qu’ensemble, tout est possible. 
Oui, ensemble, tout est possible, et nous sommes là aussi.

Je reprends le début de mon discours en vous disant que je vous envoie plein de Lumière, plein d’énergie, plein de force de guérison, cependant, allez-vous l’accepter ? 
Vous en sentez-vous dignes puisque c’est la question que vous vous posez ? 
C’est vous, pas moi. 
Pensez-vous que je vous dirais que j’envoie de l’énergie si je pensais que vous n’êtes pas digne de la recevoir ? 
Non. Vous êtes digne de recevoir cette énergie. 
Vous êtes dignes de recevoir ce qui vous traverse là, ici, maintenant, et qui potentiellement dans votre corps provoque tout un tas de micro changements, fait circuler les énergies un peu différemment. 
Je cherche à fluidifier l’espace en vous, à vous libérer, à vous montrer dès le début de mon intervention que oui, il faut se lever, oui, il faut être dans l’action, mais que tout est encore possible pour vous et pour la multitude. Tout est encore possible. 
Votre état vibratoire, votre énergie, votre joie sont plus que jamais nécessaires, car ils sont la vibration qui permet l’arrivée de la Lumière sur cette Terre.

Comment puis-je utiliser des mots terrestres pour vous faire comprendre ce que j’essaie de vous dire ? 
Nous entendons vos prières en ce moment même, globalement : 
"Aidez-nous. Ne laissez pas faire !"
Nous envoyons toute notre Lumière, tout notre Amour, et nous aussi nous prions et nous disons : "Ecoutez-nous. Recevez cette Lumière." 
C’est comme si vous lanciez un appel sans attendre de réponse la plupart du temps, en croyant que nous allons, de là où nous sommes, agir sur la matière même si nous n’y sommes pas incarnés. 
Nous pouvons éventuellement et avec l’intercession Divine de votre Conscience Supérieure, pour ceux qui y sont totalement associés. 
Par contre, pour les autres, nous ne pouvons qu’apporter de l’énergie, apporter des informations qui éclaireront ce monde, nous l’espérons. 
Pour les recevoir, il faut accepter de recevoir, et à l’occasion, de temps en temps, chères âmes, chères Consciences incarnées, asseyez-vous dans l’instant et dites : 
J’accepte de recevoir la Lumière. J’accepte de recevoir l’information. 
Par contre, ne dites pas cela en vous disant : "Oh ! il ne va rien se passer. On verra bien. Je ne sais pas !" Recevez. Croyez. 
Alors que tout a été fait pour détruire ta foi par les forces involutives de ce monde, les forces évolutives de ce monde et d’autres cherchent à te le dire :
Enfant de Lumière, réveille-toi à ta propre foi. 
Enfin, crois, vraiment ! 
Sache, au plus profond de ton être, qui tu es, et reçois. 
Ne croyez pas que vous allez recevoir, sachez profondément que vous recevez, quoi qu’il arrive, parce qu’à chaque instant, vos pensées sont des propositions, et les énergies tombent sur cette Terre comme la pluie. 
Certaines de ces énergies ne sont que des énergies de vie, et ces énergies vous les avez appelées prana, par exemple, ou d’autres noms lumineux. Ces énergies sont reçues par votre corps physique. 
Cependant, il y a d’autres énergies informationnelles qui peuvent atteindre votre corps mental, votre corps émotionnel, spirituel, atmique, bouddhique, éthérique, astral, quel que soit le nom de ces multitudes de couches qui représentent votre expérience sur la Terre.

Nous acceptons maintenant quelques questions de votre part. 
Si elles sont proportionnelles à mon discours, je vous écoute. 
Qu’avez-vous à me ou à nous demander pour prolonger un peu ce discours de courage, de bienveillance que nous plaçons sur vous pour vous dire : "ne vous inquiétez pas !"  
Ce monde se transforme pour sa Lumière et vous faites partie de cette Lumière, vous faites partie de cet Amour, et vous êtes invités à comprendre que vos pensées sont des propositions que vous pouvez accepter ou refuser, tout simplement. 
Vous nous posez cette question qui n’est pas liée à mon discours mais qui est liée à la guérison en général : comment guérir d’une addiction ? 
Je peux vous aider. 
L’Archange Jophiel peut également vous aider. 
Comprenez que derrière chaque addiction, il y a un processus pour se rendre heureux. 
Or, si vous voulez vous faire plaisir avec quelque chose qui a un fort pouvoir de plaisir, c’est que vous ne trouvez plus de plaisir dans les choses simples. 
Alors je vous le dis, faut-il que quelque chose vous soit enlevé dans votre vie pour que vous vous rendiez compte de son importance ? 
Souvent, les personnes qui se réveillent et se remettent d’une addiction sont des personnes qui, finalement, auront perdu quelque chose à travers cette addiction, auront perdu quelque chose d’important. 
C’est pourquoi je vous dis, priez-moi, Raphaël, ou priez l’Archange Jophiel pour vous aider sur ce point, d’ailleurs, comprenez que vous êtes invités à retrouver le vrai goût des petits plaisirs de ce monde. 
Les petits plaisirs de ce monde sont très nombreux. Ils vont du plus petit brin d’herbe – réfléchissez, aimeriez-vous voir de la verdure ou être en plein désert ? 
C’est votre choix, certains préfèrent être dans le désert – mais si vous êtes dans le cadre que vous avez choisi, soyez heureux ! 
Si vous mangez ce que vous avez choisi, soyez heureux ! 
Si vous allez là où vous l’avez choisi, soyez heureux ! 
Et soyez heureux des choses simples, du contact que vous avez avec vos amis, vos frères, vos sœurs, de ces petits moments. 
Ils ne sont pas habituels et normaux, ce sont des exemples de joie et de bonheur qui vous sont donnés chaque jour et que vous ratez. 
Vous passez à côté pour la seule raison que vous avez été habitués à vouloir plus de joie, plus de paix, plus d’Amour, sans voir que tout était déjà là chaque jour. 
Vous voulez ʺ100ʺ tout à la fois plutôt que ʺ1ʺ à chaque instant. 
Invite-toi à comprendre cela. 
Invite-toi à revenir aux plaisirs simples. 
Priez-nous de vous aider dans cette dépendance, d’abord comprenez, d’abord comprenez ceci, tout est déjà là. 
Toutes ces possibilités de paix et de bonheur et d’Amour, toutes ces possibilités sont déjà là. 
Regardez à nouveau ce monde. 
Ne le voyez pas avec vos lunettes déformantes, mais plutôt avec vos lunettes roses, avec ces lunettes faites d’Amour et vous verrez l’Amour dans la nature, vous verrez l’amour dans le plus petit objet. 
Toutes ces choses pour lesquelles vous poseriez votre colère ou votre assentiment si elles n’étaient pas là, admirez-les quand elles sont là. 
Respectez-les lorsqu’elles sont là. 
La gratitude est la force qui élimine les dépendances. 
Soyez donc dans cette force de gratitude.

Vous nous demandez à quoi ressemble le prana ? 
Le prana ressemble, lorsque vous le voyez à travers vos yeux physiques, à des points de lumière capables d’avoir leurs propres mouvements, leurs propres énergies. 
Il s’agit généralement de points lumineux qui descendent vers vous. Ils ont leur propre énergie vitale ; cette énergie a sa propre énergie. 
Et il y a de nombreuses façons de voir ou de percevoir ce prana, c’est comme une pluie d’or, si je devais le caractériser. 

Vous nous demandez comment refuser une pensée non bénéfique ? 
En nous connectant à une bénéfique ? posez-nous une question.
"Ce n’est pas mon souhait, je désire la Paix, je désire l’Amour, je désire la Joie. Seigneur, je t’offre ces pensées négatives et j’accepte la Lumière !" 
L’idée est donc d’effacer une pensée négative par une pensée positive, certains diront, c’est surtout de se dire, par rapport à ce qui vous a traversé, tout de suite : "NON. Ce n’est pas mon désir. Non !" 
Il ne s’agit pas, je le répète, d’être dans le rejet ou le déni, mais simplement de se dire : "Je libère cette pensée. Je me pardonne cette pensée !"  
C’est-à-dire que je me pardonne même d’avoir eu cette pensée, dans la mesure où elle correspond effectivement à ce qui semble être, en apparence. 
Donc, pas de déni, je la libère, je l’offre au Ciel. 
Je l’offre à l’univers et je demande qu’elle soit transformée. 
Et puis, effectivement, je vais tourner mon regard vers ce qui va bien et pas vers ce qui ne va pas bien, vers ce qui est en paix et pas vers ce qui est en guerre, juste tourner mon regard et dire : "il y a cette paix que je ressens sur ce regard, je peux la diffuser !"  
Parce que c’est ça le truc, c’est de capter ses pensées. 
Vous n’avez pas l’habitude, vous ne vous écoutez pas ou plutôt vous êtes dans une écoute hypnotique de vous-même, c’est-à-dire que vous êtes incapable de réagir et de pouvoir dire "non !"  
Je ne sais pas d’où vient cette pensée mais je n’en veux pas !" 
Comprenez que vos pensées sont des propositions. 
Elles ne sont pas vous, elles ne vous définissent pas. 
Elles sont ce qui rayonne et résonne avec l’énergie que vous envoyez dans l’univers. 
Ainsi, lorsque vous entendez une pensée négative, posez-vous au moins cette question : quelle émotion ai-je émise qui m’a renvoyé cette pensée ? et inversez le processus : Je vais me mettre en position d’émettre une énergie différente. 
Je vais infiltrer une pensée parmi ces pensées pour rayonner autre chose et donc recevoir autre chose, car c’est un cycle. Vos pensées produisent des émotions, les émotions produisent des pensées, mais rappelez-vous, dans ce cas ce n’est pas l’œuf et la poule, ce fameux dilemme, le premier, c’est toujours l’émotion. 
C’est toujours l’émotion qui est à l’origine de vos pensées. 
Ensuite, les pensées viennent valider cette émotion ou en créer une autre. 
Il s’agit donc de créer une émotion différente pour changer vos pensées. 
C’est ainsi. 
Ne faut-il pas accepter de vivre l’expérience de la souffrance plutôt que de vouloir s’en débarrasser pour en guérir vraiment ? 
Certains choisissent cette voie, Madame, mais ce n’est pas une voie obligée. 
Il y a toujours d’autres voies d’apprentissage que celle de la souffrance. 
Si vous utilisez la voie de la souffrance, c’est que vous voulez probablement un chemin accéléré, probablement un chemin plus rapide, c’est vrai, que d’autres formes d’apprentissage. 
Cependant, vous n’êtes pas venu dans ce monde pour apprendre uniquement par la souffrance.

Vous êtes venus pour vivre, pour apprendre, à travers l’épreuve, oui, mais l’épreuve n’est pas toujours la souffrance. 
Parfois, l’épreuve est une question : Veux-tu aller là ou là ? 
C’est déjà une épreuve de choisir dans son intention, dans son cœur et avec ce qui est aligné avec nous. 
Passer par le corps, faire de ce corps un corps de souffrance est un moyen, cependant ce n’est pas obligatoire, je vous le dis. 
Entendez-moi, ce n’est pas la seule voie, c’est une voie. 
Il est très vénérable pour beaucoup de gens. 
Il était sans aucun doute le meilleur professeur pour de nombreuses personnes. 
Malgré tout, je l’affirme encore une troisième fois, ce n’est pas un chemin obligatoire, en tout cas. 
Puis-je espérer guérir mon corps à ce stade ? 
Dois-je encore évoluer ? 
Il n’y a pas de stade de maladie qui ne puisse être éclairé par la Lumière. 
Je ne parle pas nécessairement ici de la guérison du corps physique dans la mesure où, parfois, la guérison atteint l’Au-delà. 
En tout cas, il n’y a pas de stade, je le répète, de maladie qui ne puisse être éclairée par le Divin, qui ne puisse permettre à la Lumière de vous traverser, de comprendre sincèrement et profondément votre nature Divine, de pénétrer votre corps, jusqu’à ce que ce schéma parfait dont je parlais vous atteigne. 
Cela demande beaucoup de foi. 
Vous voyez, se débarrasser d’un léger mal de tête demande un peu de foi, diront certains. 
Si vous étiez capable d’avoir cette petite foi absolue, même pour un grand événement, cela aurait le même effet. 
Vous pouvez soulager une petite douleur de la même manière que vous pouvez soulager une grande douleur. 
Or, simplement, en fait, vous avez l’impression qu’il faut une foi immense, plus grande, quand il s’agit d’une grande maladie, et qu’une petite foi suffirait pour une petite maladie ? 
Il n’y a vraiment pas d’échelle à la foi. 
Guérir un mal de tête ou ce que vous appelez un cancer en phase terminale ne demande pas plus de foi, mais la même foi. 
Ce sont les obstacles à cette foi qui sont sans doute plus nombreux. 
En l’occurrence, la demande à l’Univers, cette demande d’énergie, cette demande que la Lumière vous traverse, cette demande est la même, quelle que soit l’intensité de ce que vous vivez. 
Il va donc falloir travailler sur les obstacles à cette Lumière. 
"Je ne suis pas digne. C’est trop tard !", ce sont des obstacles. 
Il n’est jamais trop tard. 
Comprenez que cette Lumière va passer dans votre corps et qu’elle va soit vous guérir, soit vous apprendre à gérer, soit vous montrer le sens profond de ce que vous vivez. 
Cette Lumière doit être demandée avec la foi, l’Amour et l’intelligence du moment, c’est-à-dire dans la Conscience du fait que tout cela vous mènera à votre plus grand bien, à la plus grande version de vous-même. 
C’est ainsi.

Savons-nous qu’il est difficile d’y croire lorsque nous vivons des moments difficiles ? 
C’est sans doute dans ces moments-là que croire est un véritable exercice. On dit souvent qu’aimer quelqu’un que l’on aime déjà est facile, alors qu’apprendre à aimer ? 
Apprendre à aimer, c’est difficile. 
Or, c’est clairement le but de votre existence. 
Comment l’avez-vous aimé ? 
Qu’avez-vous fait pour les autres ? 
Voici ces questions primordiales, essentielles, qui seront posées à chacun d’entre vous lorsque vous nous rejoindrez. 
Comment l’avez-vous aimé ? 
Ce n’est pas ce qui est facile à aimer. 
Bien sûr, ça va compter, et c’est fort, puissant, intéressant, par contre, comment avez-vous appris à aimer ? 
Comment avez-vous appris à pardonner ? 
Comment avez-vous appris à placer la lumière sur l’ombre ? 
C’est là que réside le défi. 
Dans ces circonstances, bien sûr, il est parfois difficile de croire. 
Mais quand on vous le demande, c’est que vous avez décidé de vous mettre dans cette épreuve de la foi, dans cette épreuve de l’Amour, et le but est là. 
Et je vais vous dire, plus la difficulté est grande, plus votre force d’Amour possible est grande, parce que, soyons très clairs, vous ne vous mettez jamais dans une épreuve qui ne peut pas vous mener à la victoire. 
Jamais. 
Quoi que vous pensiez. 
Vous ne vous êtes jamais mis dans une épreuve qui ne pouvait pas vous conduire à votre victoire parfaite sur la Terre et dans les Cieux. 
Cela veut donc dire que oui, il vous faudra développer des qualités pendant ces moments de manque de foi, pendant ces moments de manque d’énergie, pendant ces manques en général. 
Combler ces manques, apprendre à corriger ces blessures, c’est le sens même de votre existence. 
Et c’est là qu’il sera probablement nécessaire, plus dans ces moments que dans d’autres, de dire "j’accepte de recevoir la Lumière de l’Invisible" pour comprendre qu’en vérité, vous n’êtes pas non plus ou plus seul dans cette épreuve. 
Car vous avez placé à vos côtés de nombreux Guides, de nombreux anges et de nombreuses forces, que vous n’entendez peut-être pas, que vous ne comprenez peut-être pas, mais qui en tout cas répondront à votre appel que celui-ci, qu’il soit sincère ou non, nous appelle tout de même à votre aide. 
Quand je dis "sincère ou pas", c’est parce que lorsqu’une personne appelle à l’aide, même si elle n’y croit pas, elle vient d’appeler à l’aide, donc, d’une certaine manière, elle y croit déjà, sinon elle ne lancerait même pas cet appel.

Donc, nous sommes là pour vous aider à passer ces épreuves, mais comprenez que chacune d’entre elles est un trésor merveilleux, que ce soit dans le corps ou en dehors du corps, tout simplement. 
Vous nous demandez de bonnes idées, de bonnes initiatives pour agir.
Nous les avons envoyées à des milliers, des millions de personnes, si bien que beaucoup se sont dit après : "Ah, mais je ne pouvais pas le faire tout seul…". 
Ah ! Oui, peut-être, mais – Oui, mais. 
"Reprenez ces idées que nous avons envoyées."  
Cessez de vous dire que vous ne pouvez rien faire seul. 
C’est vrai, mais tu trouveras des gens à tes côtés si tu sens la justesse de ce que tu fais, la justice de ce que tu fais. 
Tu sais, des Guides comme Marie, Jésus, Bouddha, le Prophète Muhammad, Shiva, tous ces Guides, tous ces Guides en ce moment lancent un appel à la foi, un grand appel à la croyance, un grand appel à se "repentir", c’est-à-dire à dire à dire à dire simplement "Réveille-toi !", simplement ʺréveillez-vous!ʺ, simplement ʺse lever!ʺ, simplement ʺrayonnez cette paix, cet amour que nous essayons de vous enlever ! 
Rayonnez la joie. 
Vous pouvez le faire. 
Même si tout vous a été enlevé, vous pouvez encore le faire. 
C’est ce qu’est l’action juste, ce n’est rien d’autre que d’être juste, que d’agir avec justice. 
Vous devez être, non pas simplement – je ne vous parle pas ici d’une action pour le plaisir d’une action – pour paraître. 
"Oh, je suis dans le bon combat !" 
Non, non, non. 
Soyez vous-même l’exemple, de temps en temps quand vous le pouvez, dès que vous le pouvez, de tout cela, de tout cela. 
Soyez gentil avec vous-même, s’il vous plaît, parce que vous êtes souvent très dur avec vous-même, très dur. 
Comment ce monde va-t-il évoluer, va-t-il se guérir, manifester l’amour ? 
Ce monde évolue déjà, ne vous inquiétez pas. 
Soyez bénis dans la Lumière.

Reçu par Sylvain Didelot :
Source
https://www.etresouverain.com/archange-raphael-les-guerriers-de-la-lumiere-se-revelent/