mercredi 1 mars 2023

Des Tickets de Rationnement pour le Climat ?

Des académiciens appellent à un Rationnement de la Nourriture et du Carburant de type Seconde Guerre Mondiale pour enrayer le Changement Climatique ! 


Comme nous l’avons souligné en détail à de nombreuses reprises par le passé, il n’existe que peu ou pas de preuves concrètes étayant la théorie selon laquelle les émissions de carbone d’origine humaine ont un quelconque rapport avec le temps et le changement climatique. 
Il n’existe aucune preuve de l’existence d’une "crise climatique" ni aucune preuve que l’industrie et l’agriculture humaines ont un impact négatif sur les températures de la Terre. 
Rien ne prouve que les émissions de carbone ont un effet de causalité sur le réchauffement de la planète et rien ne vient étayer les théories du "point de non-retour" qui affirment qu’une simple augmentation de 1,5°C de la température entraînera une catastrophe environnementale. 
Les militants du climat s’appuient sur une période minuscule d’environ 100 ans de l’histoire météorologique de notre planète pour étayer leurs affirmations, tout en ignorant les millions d’années de changements de température qui se sont produits sans l’intervention de l’homme. 
En fait, la Terre a été beaucoup plus chaude (et plus froide) à de multiples reprises dans son histoire qu’elle ne l’est aujourd’hui, ce qui suggère que l’homme a très peu d’influence sur le climat en général. 

Pour les hommes préhistoriques et au Moyen-Âge, le rationnement c'était aux moments où il faisait froid, pas quand il faisait chaud ! 

Au-delà du manque de preuves scientifiques en termes d’émissions de carbone et de réchauffement climatique, il y a aussi la question du contrôle politique et social ancré dans les lois climatiques. 
En Europe, l’industrie agricole est actuellement confrontée à un Armageddon bureaucratique, car la paperasserie gouvernementale et les taxes liées au climat vont rendre la production alimentaire impossible pour la majorité des agriculteurs. 
Les contrôles climatiques de l’ONU et de l’UE sont en train d’être mis en œuvre et vont effectivement détruire de larges pans de l’économie européenne, et l’establishment veut appliquer ces mêmes politiques aux États-Unis. 
Certains diront qu’ils ne sont pas agriculteurs ou capitaines d’industrie, alors pourquoi s’en soucier ? 
Le problème est que le contrôle du carbone ne se limitera pas aux entreprises et à l’agriculture ; il sera un jour présent dans votre maison. 
Un groupe de chercheurs universitaires affirme aujourd’hui que pour enrayer le changement climatique (qui n’a rien à voir avec le carbone d’origine humaine), chaque individu devra accepter des restrictions sur ce qu’il peut acheter, ce qu’il peut manger et la quantité de carburant et d’électricité qu’il peut utiliser. 
Dans un document intitulé "Rationnement et atténuation du changement climatique", le groupe affirme qu’une réduction rapide des émissions mondiales est nécessaire et qu’un rationnement similaire aux normes appliquées pendant les deux guerres mondiales, et plus particulièrement aux mesures utilisées pendant la Seconde Guerre mondiale, devrait être à nouveau appliqué par les gouvernements.
Seulement, cette fois-ci, le rationnement ne se ferait pas au nom du soutien à un effort de guerre mais au nom de la lutte contre le fantôme de la catastrophe climatique. 



Ce n’est pourtant pas la première fois que le rationnement des individus est suggéré en relation avec le changement climatique. 
Le Forum économique mondial et les Nations unies plaident depuis longtemps en faveur d’une approche de micro-gestion des contrôles du carbone, en utilisant le récit du "suivi de l’empreinte carbone individuelle". 
Ici, le président d’Alibaba, J. Michael Evans, se vante, lors de la conférence du FEM à Davos, de l’arrivée prochaine du "suivi de l’empreinte carbone individuelle" : 
La création du croque-mitaine de la crise climatique est un stratagème évident pour l’autoritarisme centralisé au nom du «"plus grand bien". 
C’est une minuscule minorité d’élites financières et politiques qui fabriquent la menace d’une catastrophe planétaire imminente tout en payant des groupes de scientifiques activistes des milliards de dollars pour soutenir ces fausses affirmations. 
Ensuite, ces mêmes élites proposent leur propre solution, qui consiste à leur donner encore plus de pouvoir pour dicter chaque détail de la vie des citoyens moyens tout en limitant notre accès à la nourriture, à l’énergie et aux autres ressources vitales pour la survie (ou la rébellion). 
Il s’agit de créer un monde dans lequel chaque individu doit constamment justifier son existence et prouver qu’il est digne de la machine mondialiste.