La Crise Énergétique Européenne n'est pas Réglée, les Énergies Renouvelables ne peuvent remplacer le Gaz Russe et la baisse du Nucléaire et de l'Hydraulique !
L'hiver européen a été globalement clément, même s'il a été marqué par des épisodes de froid extrême et de fortes chutes de neige, ce qui a aidé les infrastructures énergétiques défaillantes du continent à faire face à la situation.Cependant, les problèmes demeurent ; en fait, ils se sont aggravés...
Les réserves de pétrole et de gaz ont bien résisté l'hiver dernier, mais c'est surtout parce que la spirale des coûts a exclu de nombreux foyers et entreprises du marché.
Le gouvernement Britannique a versé plus de cinq millions de Cold Weather Payments, pour un montant total de plus de 130 millions de livres sterling, entre novembre 2022 et fin mars, soit 430 fois plus que ce qu'il avait prévu à l'origine, alors que les Britanniques s'efforçaient d'empêcher le loup de s'approcher de leur porte.
Ces paiements ne sont toutefois qu'un simple pansement.
Au cours du premier trimestre 2023, les déficits de production hydroélectrique et nucléaire de l'Europe ont facilement compensé l'expansion des sites éoliens et solaires, laissant le continent extrêmement vulnérable à de graves pénuries d'énergie pour la deuxième année consécutive.
Face à la perspective de la "fin du monde" (réchauffement climatique ou anéantissement de la Russie, au choix), les dirigeants européens ont été contraints, soumis au chantage et rémunérés pour accélérer le développement des capacités en matière d'énergies renouvelables.
Selon l'Agence internationale de l'énergie, le continent a réussi à augmenter son offre d'énergies renouvelables d'un nombre record de 57.290 mégawatts en 2022, soit près de 9%, dans le cadre d'une course désespérée pour remplacer le gaz Russe, avec en prime la volonté de sauver la planète.
Toutefois, la chute brutale de la production hydroélectrique et nucléaire signifie que l'Europe se trouve dans une situation encore pire qu'il y a un an, lorsque le choc énergétique a commencé à se faire sentir.
Les réserves de pétrole et de gaz ont bien résisté l'hiver dernier, mais c'est surtout parce que la spirale des coûts a exclu de nombreux foyers et entreprises du marché.
Le gouvernement Britannique a versé plus de cinq millions de Cold Weather Payments, pour un montant total de plus de 130 millions de livres sterling, entre novembre 2022 et fin mars, soit 430 fois plus que ce qu'il avait prévu à l'origine, alors que les Britanniques s'efforçaient d'empêcher le loup de s'approcher de leur porte.
Ces paiements ne sont toutefois qu'un simple pansement.
Au cours du premier trimestre 2023, les déficits de production hydroélectrique et nucléaire de l'Europe ont facilement compensé l'expansion des sites éoliens et solaires, laissant le continent extrêmement vulnérable à de graves pénuries d'énergie pour la deuxième année consécutive.
Face à la perspective de la "fin du monde" (réchauffement climatique ou anéantissement de la Russie, au choix), les dirigeants européens ont été contraints, soumis au chantage et rémunérés pour accélérer le développement des capacités en matière d'énergies renouvelables.
Selon l'Agence internationale de l'énergie, le continent a réussi à augmenter son offre d'énergies renouvelables d'un nombre record de 57.290 mégawatts en 2022, soit près de 9%, dans le cadre d'une course désespérée pour remplacer le gaz Russe, avec en prime la volonté de sauver la planète.
Toutefois, la chute brutale de la production hydroélectrique et nucléaire signifie que l'Europe se trouve dans une situation encore pire qu'il y a un an, lorsque le choc énergétique a commencé à se faire sentir.
La volonté insensée de l'establishment d'éradiquer TOUTES les solutions énergétiques, à l'exception de l'éolien et du solaire, est au mieux d'une stupidité inexcusable, au pire d'une destruction intentionnelle.
La production totale d'électricité en Europe au cours du premier trimestre 2023 a été de 1.213 térawattheures, soit 6,4% de moins qu'au cours de la même période en 2022, selon les données du groupe de réflexion Ember.
Et avec les efforts en cours pour tenter de relancer l'activité dans des dizaines d'usines, de sites industriels et de lignes de production européens qui ont été fermés ou réduits en 2022, la demande d'électricité de l'Europe ne peut qu'augmenter jusqu'à la fin de l'année.
Le gaz Russe n'est pas vraiment une option, ni sur le plan politique, ni sur le plan physique.
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La production totale d'électricité en Europe reste inférieure à la moyenne malgré l'augmentation de la production solaire et éolienne ! |
La production totale d'électricité en Europe au cours du premier trimestre 2023 a été de 1.213 térawattheures, soit 6,4% de moins qu'au cours de la même période en 2022, selon les données du groupe de réflexion Ember.
Et avec les efforts en cours pour tenter de relancer l'activité dans des dizaines d'usines, de sites industriels et de lignes de production européens qui ont été fermés ou réduits en 2022, la demande d'électricité de l'Europe ne peut qu'augmenter jusqu'à la fin de l'année.
Le gaz Russe n'est pas vraiment une option, ni sur le plan politique, ni sur le plan physique.
Les producteurs d'électricité européens devront donc recourir à d'autres méthodes.
Or, l'éolien et le solaire sont les seules options possibles.
L'hydroélectricité et le nucléaire ont beau être verts et avoir représenté 40% de la production totale d'électricité en Europe entre 2000 et 2020, ils n'ont plus la cote.
Cela indique que l'establishment ne cherche peut-être pas une solution, mais plutôt une démolition contrôlée - quelle autre explication y a-t-il ?
En 2022, la production à partir de l'hydroélectricité et du nucléaire a chuté à moins de 35 %, en grande partie à cause des fermetures de centrales nucléaires vieillissantes.
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| Total de la production d'électricité en Europe au 1er trimestre par principale source d'énergie ! |
En 2022, la production à partir de l'hydroélectricité et du nucléaire a chuté à moins de 35 %, en grande partie à cause des fermetures de centrales nucléaires vieillissantes.
La France, en particulier, premier producteur d'énergie nucléaire en Europe, subit une forte baisse de sa production nucléaire, de 6,2% au cours des trois premiers mois de 2023 par rapport à la même période en 2022, et de 18% par rapport à la moyenne des années 2019 à 2021.
Si l'on examine les données, l'hydroélectricité et le nucléaire ont perdu 43 térawattheures de production d'électricité par rapport à la même période en 2022, tandis que l'éolien et le solaire n'ont ajouté que 11 térawattheures.
Si l'on examine les données, l'hydroélectricité et le nucléaire ont perdu 43 térawattheures de production d'électricité par rapport à la même période en 2022, tandis que l'éolien et le solaire n'ont ajouté que 11 térawattheures.
En faisant rapidement le calcul ...., les responsables européens ont fait preuve d'une planification désastreuse.
Si la production hydroélectrique et nucléaire reste réduite et, à moins d'un retour politique du pays des fées où les pays remettent en service leurs centrales à charbon arrêtées - comme nous l'avons vu récemment au Royaume-Uni - cela signifiera un désastre à l'hiver 2023-24 pour un grand nombre d'Européens.
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https://electroverse.info/canadas-fleeting-warmth-to-end-with-crashing-temperatures-and-heavy-snow-europes-energy-crisis-deepens/
Si la production hydroélectrique et nucléaire reste réduite et, à moins d'un retour politique du pays des fées où les pays remettent en service leurs centrales à charbon arrêtées - comme nous l'avons vu récemment au Royaume-Uni - cela signifiera un désastre à l'hiver 2023-24 pour un grand nombre d'Européens.
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