Après 4 décennies d'utilisation, l'Édulcorant à base d'Aspartame sera déclaré comme un "risque possible de Cancer" par l'OMS !
Un édulcorant artificiel populaire utilisé dans des milliers de produits dans le monde, y compris le Coca Light, la crème glacée et le chewing-gumdoit être déclaré un risque possible de cancer pour l'homme, selon les rapports.
La branche de recherche sur le cancer de l'Organisation mondiale de la santé, le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), a mené un examen de l'innocuité de l'aspartame et publiera un rapport le mois prochain.
Il se prépare à étiqueter l'édulcorant comme "probablement cancérigène pour l'homme", a rapporté jeudi Reuters.
La branche de recherche sur le cancer de l'Organisation mondiale de la santé, le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), a mené un examen de l'innocuité de l'aspartame et publiera un rapport le mois prochain.
Il se prépare à étiqueter l'édulcorant comme "probablement cancérigène pour l'homme", a rapporté jeudi Reuters.
Cela signifierait qu'il existe des preuves établissant un lien entre l'aspartame et le cancer, mais qu'elles sont limitées.
Le CIRC a deux catégories plus sérieuses, "probablement cancérogène pour l'homme" et "cancérigène pour l'homme".
Le mouvement est susceptible de se révéler controversé.
Le mouvement est susceptible de se révéler controversé.
Le CIRC a été critiqué pour avoir alarmé des substances ou des situations difficiles à éviter.
Auparavant, il plaçait le travail de nuit et la consommation de viande rouge dans sa classe probablement cancérigène, et indiquait que l'utilisation des téléphones portables pouvait être cancérigène.
L'examen de l'innocuité du CIRC a été mené pour évaluer si l'Aspartame est ou non un danger potentiel, sur la base de toutes les preuves publiées, a déclaré au Guardian une personne proche du dossier.
Auparavant, il plaçait le travail de nuit et la consommation de viande rouge dans sa classe probablement cancérigène, et indiquait que l'utilisation des téléphones portables pouvait être cancérigène.
L'examen de l'innocuité du CIRC a été mené pour évaluer si l'Aspartame est ou non un danger potentiel, sur la base de toutes les preuves publiées, a déclaré au Guardian une personne proche du dossier.
Cependant, il ne tient pas compte de la quantité d'un produit qu'une personne peut consommer en toute sécurité.
Cet avis provient d'un comité d'experts distinct de l'OMS sur les additifs alimentaires, le Comité mixte FAO/OMS d'experts sur les additifs alimentaires (Jecfa), qui a également examiné l'utilisation de l'aspartame cette année. Il doit annoncer ses conclusions le jour même où le CIRC rend publique sa décision, le 14 juillet.
"Le CIRC a évalué l'effet cancérogène potentiel de l'aspartame (identification des dangers)", a confirmé un porte-parole du CIRC au Guardian.
Cet avis provient d'un comité d'experts distinct de l'OMS sur les additifs alimentaires, le Comité mixte FAO/OMS d'experts sur les additifs alimentaires (Jecfa), qui a également examiné l'utilisation de l'aspartame cette année. Il doit annoncer ses conclusions le jour même où le CIRC rend publique sa décision, le 14 juillet.
"Le CIRC a évalué l'effet cancérogène potentiel de l'aspartame (identification des dangers)", a confirmé un porte-parole du CIRC au Guardian.
"Suite à cela, le comité mixte d'experts FAO/OMS sur les additifs alimentaires mettra à jour son exercice d'évaluation des risques sur l'Aspartame, y compris l'examen de la dose journalière acceptable et de l'évaluation de l'exposition alimentaire pour l'aspartame.
Le résultat des deux évaluations sera mis à disposition ensemble, le 14 juillet 2023."
L'aspartame est largement utilisé depuis les années 1980 comme édulcorant de table et dans des produits tels que les boissons gazeuses diététiques, les chewing-gums, les céréales pour petit-déjeuner et les pastilles contre la toux.
Son utilisation est autorisée dans le monde entier par les régulateurs qui ont examiné toutes les preuves disponibles, et les principaux fabricants d'aliments et de boissons défendent depuis des décennies leur utilisation.
L'industrie alimentaire a exprimé de sérieuses inquiétudes au sujet des rapports jeudi.
"Le CIRC n'est pas un organisme de sécurité alimentaire ", a déclaré Frances Hunt-Wood, secrétaire générale de l'International Sweeteners Association.
L'aspartame est largement utilisé depuis les années 1980 comme édulcorant de table et dans des produits tels que les boissons gazeuses diététiques, les chewing-gums, les céréales pour petit-déjeuner et les pastilles contre la toux.
Son utilisation est autorisée dans le monde entier par les régulateurs qui ont examiné toutes les preuves disponibles, et les principaux fabricants d'aliments et de boissons défendent depuis des décennies leur utilisation.
L'industrie alimentaire a exprimé de sérieuses inquiétudes au sujet des rapports jeudi.
"Le CIRC n'est pas un organisme de sécurité alimentaire ", a déclaré Frances Hunt-Wood, secrétaire générale de l'International Sweeteners Association.
"L'aspartame est l'un des ingrédients les plus étudiés de l'histoire, avec plus de 90 agences de sécurité alimentaire à travers le monde déclarant qu'il est sûr, y compris l'Autorité européenne de sécurité des aliments, qui a mené l'évaluation de sécurité la plus complète de l'aspartame à ce jour."
La directrice exécutive du Conseil international des associations de boissons, Kate Loatman, a suggéré que cette décision "pourrait inutilement induire les consommateurs en erreur en leur faisant consommer plus de sucre plutôt que de choisir des options sûres sans sucre et à faible teneur en sucre".
Il existe des preuves qui soulèvent des questions sur l'impact potentiel de l'Aspartame sur le risque de cancer.
La directrice exécutive du Conseil international des associations de boissons, Kate Loatman, a suggéré que cette décision "pourrait inutilement induire les consommateurs en erreur en leur faisant consommer plus de sucre plutôt que de choisir des options sûres sans sucre et à faible teneur en sucre".
Il existe des preuves qui soulèvent des questions sur l'impact potentiel de l'Aspartame sur le risque de cancer.
Une étude en France portant sur environ 100.000 adultes l'année dernière a suggéré que ceux qui consommaient de plus grandes quantités d'édulcorants artificiels, y compris l'aspartame, avaient un risque de cancer légèrement plus élevé.
Une étude de l'Institut Ramazzini en Italie au début des années 2000 a rapporté que certains cancers chez les souris et les rats étaient liés à l'Aspartame.
Le Guardian comprend que le CIRC a collecté 7.000 références de recherche sur l'aspartame et inclus 1.300 études dans l'ensemble de documents évalués par des experts.
Le Guardian comprend que le CIRC a collecté 7.000 références de recherche sur l'aspartame et inclus 1.300 études dans l'ensemble de documents évalués par des experts.
"Nous devons vraiment attendre et voir l'évaluation complète du CIRC avant de pouvoir tirer des conclusions définitives", a déclaré Oliver Jones, professeur de chimie à l'Université RMIT de Melbourne, en Australie.
"Sans cela, nous tournons vraiment dans le noir."
Le professeur Kevin McConway, professeur émérite de statistiques appliquées à l'Open University, a déclaré qu'une étiquette du CIRC comme pouvant être cancérigène "ne signifie pas qu'une substance présente réellement un risque pour l'homme dans des circonstances normales".
La découverte la plus importante serait ce que Jecfa a conclu sur la consommation d'aspartame, a-t-il déclaré.
"En 1981, ils ont établi un apport quotidien acceptable d'aspartame, de 40 milligrammes par kilogramme de poids corporel par jour.
Le professeur Kevin McConway, professeur émérite de statistiques appliquées à l'Open University, a déclaré qu'une étiquette du CIRC comme pouvant être cancérigène "ne signifie pas qu'une substance présente réellement un risque pour l'homme dans des circonstances normales".
La découverte la plus importante serait ce que Jecfa a conclu sur la consommation d'aspartame, a-t-il déclaré.
"En 1981, ils ont établi un apport quotidien acceptable d'aspartame, de 40 milligrammes par kilogramme de poids corporel par jour.
Consommer au-delà de cette limite nécessiterait une très grande consommation quotidienne de Coca Light ou de boissons similaires.
Le 14 juillet, Jecfa peut modifier cette évaluation des risques, ou non !"
Par Andrew Grégoire
Origine : https://www.theguardian.com/society/2023/jun/29/aspartame-artificial-sweetener-possible-cancer-risk-carcinogenic
https://eraoflight.com/2023/07/02/aspartame-sweetener-to-be-declared-possible-cancer-risk-by-who/
Par Andrew Grégoire
Origine : https://www.theguardian.com/society/2023/jun/29/aspartame-artificial-sweetener-possible-cancer-risk-carcinogenic
https://eraoflight.com/2023/07/02/aspartame-sweetener-to-be-declared-possible-cancer-risk-by-who/