Les données officielles montrent que le nombre de décès dus à des maladies cardiaques a augmenté de 26 % par rapport à la période prépandémique !
Les experts tirent la sonnette d’alarme alors que le nombre de décès liés à l’insuffisance cardiaque continue de grimper en flèche, bien au-delà de la moyenne.
De nouvelles données officielles du gouvernement britannique montrent que les décès liés à l’insuffisance cardiaque sont actuellement 26% plus élevés qu’ils ne l’étaient avant la pandémie.
Les derniers chiffres révèlent que l’Angleterre a enregistré 32.130 décès dus à l’insuffisance cardiaque au cours de la période de 24 semaines comprise entre le 24 mars 2023 et le 1er septembre 2023.
Au cours de la même période en 2020, il y a eu 25.512 décès dus à l’insuffisance cardiaque.
La différence est de 6.618.
Si l’on extrapole à 52 semaines, au rythme actuel, on comptera 14.339 décès supplémentaires dus à une insuffisance cardiaque en 2023 par rapport à 2020.
Les décès dus à l’insuffisance cardiaque au cours des 24 dernières semaines ont été 26% plus élevés que le niveau attendu en 2020.
La source de cette statistique plutôt alarmante est le dernier rapport du ministère de l’amélioration de la santé et des disparités du gouvernement britannique.
Une autre statistique surprenante fournie par le département de la santé est le nombre de décès cardiaques "prévus".
Les données montrent que le gouvernement a augmenté le nombre de personnes qui "s’attendent" à mourir d’une insuffisance cardiaque.
Le nombre de décès par insuffisance cardiaque "attendus" en 2023 est supérieur de 8% à celui de 2020.
Le professeur Chris Whitty, médecin en chef et représentant de Fauci au sein du gouvernement britannique, a déclaré que les "retards dans la prescription de statines" pouvaient être à l’origine de cette augmentation.
Cette théorie a toutefois été démentie par le professeur Carl Heneghan et le docteur Tom Jefferson dans un article sur Substack.
Certains cardiologues de renom, tels que les docteurs Aseem Malhotra et Peter McCullough, ont pointé du doigt les doses d’ARNm.
D’autres incriminent la tendance des confinements à réduire les niveaux d’activité et à nous contraindre à des modes de vie malsains.
Toutefois, une étude récente, évaluée par des pairs, a trouvé des traces d’ARNm dans le cœur de personnes décédées subitement à la suite d’un arrêt cardiaque.
Comme l’a rapporté Slay News, des chercheurs du Massachusetts General Hospital et de la Harvard Medical School ont détecté des injections d’ARNm dans les tissus cardiaques de patients décédés moins d’un mois après avoir été vaccinés contre le Covid.
Les chercheurs ont analysé des échantillons de tissus provenant de l’autopsie de 25 personnes.
20 d’entre elles avaient été vaccinées peu avant leur décès.
Des échantillons prélevés sur le cœur de trois patients ont été testés positifs à l’acide ribonucléique messager (ARNm).
Les trois patients présentant des traces de doses d’ARNm dans leur cœur étaient décédés dans les 30 jours suivant l’administration du vaccin de Pfizer.
Cependant, d’autres patients ont été trouvés avec des injections d’ARNm dans les tissus liés à leur cœur, tels que les ganglions lymphatiques axillaires bilatéraux.
Des échantillons de ganglions lymphatiques axillaires bilatéraux ont été testés positifs à l’ARNm chez huit personnes décédées dans les 30 jours suivant l’administration d’un vaccin Moderna ou Pfizer.
L’étude a été publiée par le NPJ Vaccines de la revue Nature Journal, revue à comité de lecture.
Le Dr Clare Craig, pathologiste britannique qui a examiné la recherche, a tiré la sonnette d’alarme au sujet des traces d’ARNm dans le cœur, suggérant qu’elles étaient probablement à l’origine de la mort soudaine des personnes concernées.
"Le vaccin n’aurait pas dû se trouver là", a déclaré le Dr Craig dans un communiqué.
"Il y avait des preuves de lésions cardiaques."
"Ces trois personnes sont maintenant mortes."
Craig a reproché aux gouvernements et aux responsables de la santé de ne pas s’être penchés sur la question, arguant que cette dernière étude montrait clairement des lésions cardiaques après l’administration des vaccins.
"Lors d’une autopsie, s’il y a un rétrécissement significatif des artères coronaires, des lésions cardiaques sont attribuées à ce rétrécissement selon la balance des probabilités", a déclaré Craig.
"Ici, il s’agit d’une association claire et nette, d’une image inhabituelle de lésion myocardique et d’une incapacité à l’identifier pour ce qu’elle est."
Les échantillons ont tous été testés négatifs pour le COVID-19 lui-même.
Aucune trace d’ARNm n’a été détectée chez les personnes non vaccinées.
Traduction de Slay News par Aube Digitale
Partagé par Jade le 10 octobre 2023 :
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