Une nouvelle étude établit un lien entre les Injections des Vaxxins à ARNm et 17 millions de morts subites !
Une nouvelle étude, qui fait l’effet d’une bombe, soulève de vives inquiétudes quant à l’utilisation généralisée des injections d’ARNm anti Covid, après avoir établi un lien entre ces injections et 17 millions de morts subites dans le monde.
L’étude, publiée par Correlation Research in the Public Interest, a analysé les données relatives à la mortalité toutes causes confondues dans 17 pays.
Les chercheurs ont quantifié le taux de mortalité due aux doses vaccinales (vDFR) pour tous les âges.
Ce taux mesure le rapport entre le nombre de décès dus aux vaccins et le nombre total de vaccins administrés à la population.
Les chercheurs ont constaté que la moyenne de la toxicité mortelle par injection, tous âges confondus, était de 1 décès pour 800 injections, tous âges et tous pays confondus.
En d’autres termes, sur les 13,25 milliards d’injections réalisées jusqu’au 2 septembre 2023, 17 millions de personnes sont décédées à la suite d’un décès lié à la vaccination.
Dans l’article de l’étude, les chercheurs écrivent :
"Nous quantifions le TAV global tous âges pour les 17 pays à (0,126 ± 0,004) %, ce qui impliquerait 17,0 ± 0,5 millions de décès liés au vaccin contre le COVID-19 dans le monde, à partir de 13,50 milliards d’injections jusqu’au 2 septembre 2023."
"Cela correspondrait à un événement iatrogène de masse qui a tué (0,213 ± 0,006) % de la population mondiale (1 décès pour 470 personnes vivantes, en moins de 3 ans), et qui n’a pas empêché de manière mesurable des décès."
Les chercheurs ont analysé l’ensemble des données sur la mortalité dans le monde pour 17 pays de l’hémisphère équatorial et de l’hémisphère sud.
Les pays inclus dans l’étude sont les suivants : Argentine, Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Malaisie, Nouvelle Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour, Afrique du Sud, Suriname, Thaïlande, Uruguay !
Tiré d’Epoch Times :
Ces pays représentent 9,1% de la population mondiale et 10,3% des injections anti COVID-19 dans le monde – avec un taux de vaccination de 1,91 injection par personne de tous âges – et comprennent presque tous les produits et fabricants de vaccins contre le COVID-19 sur quatre continents.
Les principales conclusions de ce rapport de 180 pages sont les suivantes :
– Dans tous les pays inclus dans l’analyse, la mortalité toutes causes confondues a augmenté lorsque les vaccins contre le COVID-19 ont été déployés.
– Neuf des 17 pays n’ont pas connu de surmortalité détectable après la déclaration de la pandémie par l’Organisation mondiale de la santé le 11 mars 2020 et jusqu’au début de la campagne de vaccination par le vaccin contre le COVID-19.
– Des pics sans précédent de mortalité toutes causes confondues ont été observés en janvier et février 2022, pendant la saison estivale des pays de l’hémisphère sud, coïncidant avec ou suivant le déploiement des vaccins de rappel dans 15 des 17 pays étudiés.
– L’excès de mortalité toutes causes confondues au cours de la période de vaccination débutant en janvier 2021 a été de 1,74 million de décès, soit un décès pour 800 injections, dans les 17 pays étudiés.
– L’excès de mortalité toutes causes confondues augmentait de manière exponentielle avec l’âge, atteignant près de 5 % chez les personnes âgées de 90 ans et plus ayant reçu une quatrième dose de vaccin.
Les chercheurs ont également fait valoir que la mortalité toutes causes confondues aurait dû diminuer si les vaccins avaient fonctionné comme l’ont annoncé les grandes sociétés pharmaceutiques et les gouvernements du monde entier.
En conclusion, les chercheurs notent :
"Si les vaccins empêchaient la transmission, l’infection ou la maladie grave, on devrait observer une diminution de la mortalité après l’introduction des vaccins, et non une augmentation, comme c’est le cas dans tous les groupes de personnes âgées observés qui ont été soumis à une introduction rapide des vaccins."
"De plus, la mortalité n’augmenterait pas uniquement lorsque les vaccins sont introduits, alors qu’il n’y a pas de surmortalité avant l’introduction des vaccins, comme nous l’avons documenté ici, dans neuf pays sur trois continents."
Encore plus accablant, Denis Rancourt, codirecteur de Correlation Research in the Public Interest, a déclaré à Epoch Times que leur rapport n’avait trouvé aucune preuve que les vaccins avaient réellement sauvé des vies.
"Les données concrètes sur la mortalité toutes causes confondues n’apportent aucune preuve d’un effet bénéfique de l’introduction des vaccins contre le COVID-19", a déclaré Rancourt dans un courriel.
"Aucune vie n’a été sauvée !"
"Au contraire, les preuves peuvent être comprises en termes d’exposition à une substance toxique."
"Le risque de décès par injection augmente de façon exponentielle avec l’âge."
"La politique consistant à donner la priorité aux personnes âgées pour les injections doit cesser immédiatement."
Les chercheurs ont ajouté que des données provenant de pays tels que l’Inde, l’Australie, le Canada, Israël et les États-Unis montrent un phénomène similaire, à savoir un pic de mortalité toutes causes confondues lorsque les injections de rappel ont été mises en place.
Traduction de Slay News par Aube Digitale
Partagé par Jade le 13 octobre 2023 :
https://www.aubedigitale.com/une-etude-etablit-un-lien-entre-les-injections-darnm-et-17-millions-de-morts-subites/
Ces pays représentent 9,1% de la population mondiale et 10,3% des injections anti COVID-19 dans le monde – avec un taux de vaccination de 1,91 injection par personne de tous âges – et comprennent presque tous les produits et fabricants de vaccins contre le COVID-19 sur quatre continents.
Les principales conclusions de ce rapport de 180 pages sont les suivantes :
– Dans tous les pays inclus dans l’analyse, la mortalité toutes causes confondues a augmenté lorsque les vaccins contre le COVID-19 ont été déployés.
– Neuf des 17 pays n’ont pas connu de surmortalité détectable après la déclaration de la pandémie par l’Organisation mondiale de la santé le 11 mars 2020 et jusqu’au début de la campagne de vaccination par le vaccin contre le COVID-19.
– Des pics sans précédent de mortalité toutes causes confondues ont été observés en janvier et février 2022, pendant la saison estivale des pays de l’hémisphère sud, coïncidant avec ou suivant le déploiement des vaccins de rappel dans 15 des 17 pays étudiés.
– L’excès de mortalité toutes causes confondues au cours de la période de vaccination débutant en janvier 2021 a été de 1,74 million de décès, soit un décès pour 800 injections, dans les 17 pays étudiés.
– L’excès de mortalité toutes causes confondues augmentait de manière exponentielle avec l’âge, atteignant près de 5 % chez les personnes âgées de 90 ans et plus ayant reçu une quatrième dose de vaccin.
Les chercheurs ont également fait valoir que la mortalité toutes causes confondues aurait dû diminuer si les vaccins avaient fonctionné comme l’ont annoncé les grandes sociétés pharmaceutiques et les gouvernements du monde entier.
En conclusion, les chercheurs notent :
"Si les vaccins empêchaient la transmission, l’infection ou la maladie grave, on devrait observer une diminution de la mortalité après l’introduction des vaccins, et non une augmentation, comme c’est le cas dans tous les groupes de personnes âgées observés qui ont été soumis à une introduction rapide des vaccins."
"De plus, la mortalité n’augmenterait pas uniquement lorsque les vaccins sont introduits, alors qu’il n’y a pas de surmortalité avant l’introduction des vaccins, comme nous l’avons documenté ici, dans neuf pays sur trois continents."
Encore plus accablant, Denis Rancourt, codirecteur de Correlation Research in the Public Interest, a déclaré à Epoch Times que leur rapport n’avait trouvé aucune preuve que les vaccins avaient réellement sauvé des vies.
"Les données concrètes sur la mortalité toutes causes confondues n’apportent aucune preuve d’un effet bénéfique de l’introduction des vaccins contre le COVID-19", a déclaré Rancourt dans un courriel.
"Aucune vie n’a été sauvée !"
"Au contraire, les preuves peuvent être comprises en termes d’exposition à une substance toxique."
"Le risque de décès par injection augmente de façon exponentielle avec l’âge."
"La politique consistant à donner la priorité aux personnes âgées pour les injections doit cesser immédiatement."
Les chercheurs ont ajouté que des données provenant de pays tels que l’Inde, l’Australie, le Canada, Israël et les États-Unis montrent un phénomène similaire, à savoir un pic de mortalité toutes causes confondues lorsque les injections de rappel ont été mises en place.
Traduction de Slay News par Aube Digitale
Partagé par Jade le 13 octobre 2023 :
https://www.aubedigitale.com/une-etude-etablit-un-lien-entre-les-injections-darnm-et-17-millions-de-morts-subites/