mercredi 11 octobre 2023

L'ONU appelle à vivre comme les Hommes Préhistoriques !

Les Nations Unies appellent à vivre comme les Hommes Préhistoriques dans des huttes de boue pour atteindre les objectifs du "Net Zéro" Carbone !


Les bureaucrates non élus de l’Organisation des Nations unies (ONU) appellent le public à commencer à vivre dans des huttes faites de boue et de paille afin d’atteindre les objectifs "Net Zero" de l’Agence mondialiste avant l’année 2050. 
L’ONU vient de publier un nouveau rapport qui expose les mesures extrêmes que les citoyens des pays occidentaux devront endurer pour se conformer à l’agenda vert de l’élite des entreprises. 
Pour atteindre l’objectif de "zéro émission de carbone" avant 2050, dicté par l’ONU et le Forum économique mondial (FEM), les citoyens devront réduire considérablement leur qualité de vie et commencer à s’aligner sur la vision mondialiste du collectivisme. 
L’ONU insiste sur le fait que les maisons construites de manière traditionnelle ne sont plus acceptables et que les gens devront commencer à vivre dans des huttes fabriquées à partir de matériaux de construction composés de briques de boue, de bambou et de "détritus" forestiers.

Selon l’ONU, le monde doit passer à des "pratiques matérielles régénératives". 
Ces pratiques impliquent l’utilisation de matériaux de construction à faible teneur en carbone et biosourcés, produits de manière éthique. 
Les exemples incluent les briques de terre, le bois, le bambou et les détritus agricoles et forestiers. 
Le rapport fait référence au milieu du siècle dernier, lorsque la grande majorité des cultures construisaient de grands bâtiments et des villes en terre, en pierre et en matériaux biologiques indigènes, notamment le bois, la canne, le chaume et le bambou. 
Contrastant avec les bâtiments modernes en béton, en acier et en verre, les Nations unies affirment que "des bâtiments massifs en terre ont été entretenus pendant des siècles avec leurs structures intactes".

Les Nations unies exposent leurs projets dans un rapport récemment publié et intitulé "Matériaux de construction et climat : Construire un nouvel avenir". 
Le rapport s’appuie sur un large éventail d’auteurs internationaux. 
Les Nations unies ont collaboré avec l’université de Yale et l’Alliance mondiale pour les bâtiments et la construction (GABC) pour préparer le rapport. 
La GABC a reçu un financement de la fondation Laudes, un activiste vert, et du gouvernement britannique. 
Ce rapport fait partie d’une série de rapports récemment publiés qui ont commencé à exposer les changements radicaux qui devront être opérés pour atteindre les objectifs mondialistes du "Net Zero". 
Dans le cadre de cet objectif, 80% de l’énergie mondiale produite par les combustibles fossiles seront interdits dans moins de 30 ans. 
Le secteur de la construction serait responsable de 37% des "émissions anthropiques" de gaz tels que le dioxyde de carbone. 
Le rapport indique que des matériaux tels que le béton, l’acier et l’aluminium ne seront utilisés qu’en cas de "nécessité absolue". 
Cependant, comme Slay News l’a précédemment rapporté, les experts avertissent que la réalisation de ces objectifs coûtera aux contribuables la somme stupéfiante de 75.000 milliards de dollars. 
Sans surprise, l’ONU non élue exige une action législative dans son rapport sur les bâtiments et suggère que l’argent des contribuables soit utilisé pour mettre en œuvre ses projets écologiques.

Selon le rapport, les gouvernements devront mettre en place des "incitations, des campagnes de sensibilisation et des cadres juridiques et réglementaires" pour promouvoir les projets de huttes en terre de l’ONU.
"Les systèmes de recyclage des matériaux de construction ont tendance à nécessiter le même type de soutien d’un pays à l’autre", indique le rapport. 
Selon l’ONU, ces mesures nécessitent "des investissements beaucoup plus importants" en raison de la complexité de ce qui est proposé.
"Une réglementation et une mise en œuvre synergique sont nécessaires à toutes les phases du cycle de vie des bâtiments, de l’extraction à la fin de l’utilisation", ajoute le rapport. 
Pendant ce temps, les bureaucrates installés dans l’administration du président démocrate Joe Biden ont mis en place d’autres mesures qui réduiront considérablement la qualité de vie de la plupart des Américains afin d’atteindre le "Net Zero".

Comme Slay News l’a récemment rapporté, John Kerry, le "tsar du climat" de Joe Biden, a conduit les États-Unis à signer un pacte avec plusieurs autres grandes nations productrices de denrées alimentaires, dans le but de réprimer l’agriculture. 
L’Amérique a rejoint douze autres nations du monde entier dans un accord visant à réprimer l’industrie agricole pour lutter contre le "réchauffement climatique". 
Les gouvernements internationaux ont accepté de signer un pacte par lequel ils s’engagent à cibler la production alimentaire en fermant des exploitations agricoles afin de réduire les "émissions de méthane".

Les treize nations qui ont signé le "Global Methane Pledge" sont les suivantes : Argentine, Australie, Brésil, Burkina Faso, Chili, République Tchèque, Équateur, Allemagne, Panama, Pérou, Espagne, États-Unis d’Amérique, Uruguay ! 
Cette initiative vise à réduire considérablement l’offre de viande et de produits laitiers dans le monde entier afin de prétendument "sauver la planète" du "changement climatique". 
Les États-Unis, l’Australie, le Brésil et l’Argentine, pays signataires du pacte, comptent parmi les plus grands producteurs de viande au monde. 
Au nom des États-Unis, "l'envoyé spécial pour le climat" du président démocrate Joe Biden, John Kerry, s’est déjà engagé à signer le pacte. 
Kerry insisterait sur le fait que les agriculteurs doivent réduire leur production alimentaire pour atteindre les objectifs "Net Zero" de l’agenda vert mondialiste. 
Des plans visant à interdire la viande et les produits laitiers ont déjà commencé à être mis en œuvre dans plusieurs grandes villes américaines. 
Slay News a récemment révélé que 14 villes américaines se sont fixé pour "objectif" de se conformer aux objectifs de l’agenda vert du Forum économique mondial (FEM) en interdisant la viande, les produits laitiers et la possession de voitures privées d’ici à 2030.

Les villes américaines ont formé une coalition appelée "C40 Cities Climate Leadership Group" (C40). 
Le C40 a fixé un "objectif ambitieux" pour atteindre les objectifs du FEM d’ici à 2030. 
Pour atteindre cet "objectif", les villes du C40 se sont engagées à ce que leurs habitants se conforment à la liste suivante de règles obligatoires :
• 0 kg [de] consommation de viande !
• 0 kg [de] consommation de produits laitiers ;
• 3 nouveaux vêtements par personne et par an ;
• 0 véhicule privé possédé ;
• 1 vol aller-retour court-courrier (moins de 1.500 km) tous les 3 ans par personne". (De préférence en tapis volant !)

Les objectifs dystopiques des villes du C40 figurent dans son rapport intitulé "The Future of Urban Consumption in a 1.5°C World" (L’avenir de la consommation urbaine dans un monde à 1,5 °C). 
Les villes américaines membres du C40 sont les suivantes : Austin, Boston, Chicago, Houston, Los Angeles, Miami, Nouvelle-Orléans, New York, Philadelphie, Phoenix, Portland, San Francisco, Washington D.C., Seattle ! (Ndlr : L'utilisation de l'habitat de loisir, c'est à dire de tentes sur les trottoirs dans les villes Américaines pour les SDF, doit, sans doute, participer à cet Agenda de réduction de l'empreinte carbone et du mantra "Vous ne posséderez rien et vous serez heureux !")
La maire démocrate de Phoenix, en Arizona, Kate Gallego, a mené la charge et a déjà pris des mesures pour mettre en œuvre l’Agenda Mondialiste. 
Gallego, membre du C40 depuis 2020, occupe désormais le poste de "vice-président du comité directeur du C40", qui "assure une supervision stratégique pour veiller à ce que la mission et le mandat du C40 soient directement motivés par les besoins des villes du C40 et y répondent". 
La mission et le mandat du C40 comprennent une campagne mondiale "Race to Zero" (La course à zéro, ndlr) visant à réduire à zéro les émissions de carbone dans 1.000 villes du monde entier et des "politiques alimentaires durables" qui soutiennent "une augmentation globale de la consommation d’aliments sains à base de plantes dans nos villes en abandonnant les régimes alimentaires non durables et malsains", c’est-à-dire les régimes alimentaires carnivores. 
Les villes C40 imposent également des limites sur le nombre de vêtements que les individus peuvent acheter chaque année et restreignent les membres du public à ne voyager en avion qu’une fois tous les trois ans.

Source : Slay News, le 11 octobre 2023 – Traduction par Aube Digitale 
https://www.nouvelordremondial.cc/2023/10/11/les-nations-unies-appellent-a-vivre-dans-des-huttes-de-boue-pour-atteindre-les-objectifs-du-net-zero/