La Belgique et la Hongrie introduisent des Cartes d’Identité Numériques et des Passeports de Vaxxination controversés avant la Réglementation Européenne !
La Belgique et la Hongrie sont à l'avant-garde de l'introduction de portefeuilles d'identification numérique, avant les réglementations européennes eIDAS (services d'identification électronique et de confiance) 2.0 et EUDI, qui entrent en vigueur ce mois-ci.
En Belgique, l'application MyGov.be a été lancée mardi, couvrant tous les services publics fédéraux du pays.
Le gouvernement vante que l’identité numérique "simplifie" l’utilisation de ses services et "rend la vie plus facile".
Autrement dit, les autorités jouent la carte de la commodité – tout en banalisant les risques liés à ce type de centralisation des identités.
Le portefeuille donne accès aux documents officiels ainsi qu’à 683 services, aux données d’identité, aux documents de vaccination Covid et bien plus encore via la "eBox".
Cependant, le succès du système n'est en aucun cas garanti : d'une part, il n'est pas obligatoire, les gens sont donc libres de ne pas l'utiliser.
Selon une enquête Deloitte de l'année dernière, 71% des Belges "ne veulent pas de carte d'identité numérique sur leur mobile", indiquent les rapports, et la même enquête a révélé que 79% ne veulent pas d'un permis de conduire mobile, tandis que la moitié, qui veulent plein de numérisation, rejettent les cartes d’identité".
La "convivialité" est également la devise en Hongrie, où l'application correspondante est disponible en téléchargement cette semaine et où le service sera pleinement opérationnel à partir de septembre.
Des rapports enthousiastes sur cette évolution décrivent le programme d’identification numérique comme étant "innovant", "pratique" et "économique".
Dans le même temps, rassembler toutes les données d'une personne en un seul endroit et les stocker dans le cloud est présenté comme une chose positive, plutôt que comme quelque chose que les adversaires trouvent effrayant du seul point de vue de la sécurité.
Le processus est centralisé par le biais du programme Hongrois de citoyenneté numérique.
Autrement dit, les autorités jouent la carte de la commodité – tout en banalisant les risques liés à ce type de centralisation des identités.
Le portefeuille donne accès aux documents officiels ainsi qu’à 683 services, aux données d’identité, aux documents de vaccination Covid et bien plus encore via la "eBox".
Cependant, le succès du système n'est en aucun cas garanti : d'une part, il n'est pas obligatoire, les gens sont donc libres de ne pas l'utiliser.
Selon une enquête Deloitte de l'année dernière, 71% des Belges "ne veulent pas de carte d'identité numérique sur leur mobile", indiquent les rapports, et la même enquête a révélé que 79% ne veulent pas d'un permis de conduire mobile, tandis que la moitié, qui veulent plein de numérisation, rejettent les cartes d’identité".
La "convivialité" est également la devise en Hongrie, où l'application correspondante est disponible en téléchargement cette semaine et où le service sera pleinement opérationnel à partir de septembre.
Des rapports enthousiastes sur cette évolution décrivent le programme d’identification numérique comme étant "innovant", "pratique" et "économique".
Dans le même temps, rassembler toutes les données d'une personne en un seul endroit et les stocker dans le cloud est présenté comme une chose positive, plutôt que comme quelque chose que les adversaires trouvent effrayant du seul point de vue de la sécurité.
Le processus est centralisé par le biais du programme Hongrois de citoyenneté numérique.
Les utilisateurs de portefeuille auront tous leurs documents administratifs, etc. en un seul endroit, une boîte aux lettres numérique, leur certificat de vaccination et pourront s'appuyer sur une signature électronique à l'échelle de l'UE, tandis que les paiements électroniques seront "entièrement intégrés".
Le système d'identité numérique Hongrois utilise des données biométriques obtenues grâce à la reconnaissance faciale pour faire correspondre le visage d'un utilisateur à une base de données gouvernementale.
Dans le même temps, certains chercheurs en sécurité dans d'autres pays de l'UE préviennent que jusqu'à 75% des organisations dites à haut risque (santé, banque, aviation...) "n'utilisent pas la méthode de vérification la plus stricte".
https://reclaimthenet.org/belgium-and-hungary-launch-controversial-digital-ids-vaccine-passport
https://uncutnews.ch/belgien-und-ungarn-fuehren-im-vorfeld-der-eu-verordnungen-umstrittene-digitale-ids-und-impfpaesse-ein/
Le système d'identité numérique Hongrois utilise des données biométriques obtenues grâce à la reconnaissance faciale pour faire correspondre le visage d'un utilisateur à une base de données gouvernementale.
Dans le même temps, certains chercheurs en sécurité dans d'autres pays de l'UE préviennent que jusqu'à 75% des organisations dites à haut risque (santé, banque, aviation...) "n'utilisent pas la méthode de vérification la plus stricte".
https://reclaimthenet.org/belgium-and-hungary-launch-controversial-digital-ids-vaccine-passport
https://uncutnews.ch/belgien-und-ungarn-fuehren-im-vorfeld-der-eu-verordnungen-umstrittene-digitale-ids-und-impfpaesse-ein/