Le Texas poursuit Pfizer pour "fausse déclaration sur l’efficacité du vaccin contre le COVID-19" et "complicité de censure des discours publics" !
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| Albert Bourla, PDG de Pfizer |
Le procureur général du Texas poursuit le géant pharmaceutique Pfizer pour avoir présenté de manière inexacte l’efficacité de son "vaccin" Covid-19 et pour avoir conspiré afin de censurer ceux qui mettaient en doute ses affirmations.
La plainte, déposée jeudi, allègue que Pfizer a violé la loi texane sur les pratiques commerciales trompeuses en se livrant à des actes faux, trompeurs et mensongers dans le cadre de la promotion du médicament.
"Les faits sont clairs, Pfizer n’a pas dit la vérité sur ses vaccins contre le COVID-19", a déclaré le procureur général Kenneth Paxton dans un communiqué révélant l’action en justice.
"Nous demandons justice pour les habitants du Texas, dont beaucoup ont été contraints par des obligations vaccinales tyranniques à prendre un produit défectueux vendu sur la base de mensonges !"
L’action en justice intervient environ huit mois après que Paxton a annoncé une enquête sur Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson pour d’éventuelles fausses déclarations sur l’efficacité du vaccin contre le Covid-19 et une "manipulation potentielle des données des essais vaccinaux".
Selon un communiqué de presse, il a accusé l’entreprise de "présenter de manière illégale l’efficacité du vaccin contre le COVID-19 de l’entreprise et de tenter de censurer le débat public sur le produit".
"Pfizer s’est livrée à des actes et pratiques faux, trompeurs et mensongers en faisant des déclarations non étayées concernant le vaccin contre le COVID-19 de la société, en violation de la loi texane sur les pratiques commerciales trompeuses", poursuit le communiqué.
Une grande partie des 54 pages de la plainte de Paxton se focalise sur l’affirmation de Pfizer du 20 décembre 2020 selon laquelle son vaccin était "efficace à 95%".
Cependant, selon la plainte, "plus d’Américains sont morts en 2021, alors que le vaccin de Pfizer était disponible, qu’en 2020, la première année de la pandémie".
Il cite également des rapports gouvernementaux concluant que dans certains endroits, les décès parmi les personnes vaccinées ont dépassé ceux des personnes non vaccinées, même en pourcentage.
Selon la plainte, l’affirmation de Pfizer selon laquelle le vaccin serait efficace à 95% reposait sur une présentation trompeuse des observations issues des essais cliniques :
Ce chiffre n’a jamais été légitime que d’une seule manière, hautement technique et artificielle : il représentait un calcul de la soi-disant "réduction du risque relatif" pour les personnes vaccinées dans l’essai clinique pivot de Pfizer, qui n’était pas terminé à l’époque.
Mais les publications de la FDA indiquent que la "réduction relative du risque" est une statistique trompeuse qui "influence indûment" le choix des consommateurs.
En effet, selon la FDA "lorsque les informations sont présentées sous forme de risque relatif, la réduction du risque semble importante et les traitements sont considérés plus favorablement que lorsque les mêmes informations sont présentées" à l’aide de mesures plus précises.
Selon Paxton, l’affirmation critique de 95% a été faite à un moment où Pfizer ne disposait en moyenne que de deux mois de données sur les participants.
Plus précisément, le procureur du Texas affirme que sur les 17.000 personnes ayant reçu un placebo, seules 162 ont contracté la maladie, ce qui constitue une mauvaise base de référence pour juger de l’efficacité du soi-disant vaccin.
Si Pfizer avait utilisé la mesure préférée de la FDA, à savoir la réduction absolue du risque, elle aurait informé le public que "le vaccin n’était efficace qu’à 0,85%", écrit Paxton.
"De plus, selon les propres données de Pfizer, la prévention d’un cas de COVID-19 nécessitait la vaccination de 119 personnes."
Kenneth Paxton a récemment survécu à un procès en destitution au Sénat du Texas centré sur la corruption et d’autres allégations (Nick Wagner/Austin American-Statesman)
Paxton accuse également Pfizer d’avoir créé une fausse impression sur la durée de protection du vaccin sans aucun fondement.
Selon la plainte, l’affirmation de Pfizer selon laquelle le vaccin serait efficace à 95% reposait sur une présentation trompeuse des observations issues des essais cliniques :
Ce chiffre n’a jamais été légitime que d’une seule manière, hautement technique et artificielle : il représentait un calcul de la soi-disant "réduction du risque relatif" pour les personnes vaccinées dans l’essai clinique pivot de Pfizer, qui n’était pas terminé à l’époque.
Mais les publications de la FDA indiquent que la "réduction relative du risque" est une statistique trompeuse qui "influence indûment" le choix des consommateurs.
En effet, selon la FDA "lorsque les informations sont présentées sous forme de risque relatif, la réduction du risque semble importante et les traitements sont considérés plus favorablement que lorsque les mêmes informations sont présentées" à l’aide de mesures plus précises.
Selon Paxton, l’affirmation critique de 95% a été faite à un moment où Pfizer ne disposait en moyenne que de deux mois de données sur les participants.
Plus précisément, le procureur du Texas affirme que sur les 17.000 personnes ayant reçu un placebo, seules 162 ont contracté la maladie, ce qui constitue une mauvaise base de référence pour juger de l’efficacité du soi-disant vaccin.
Si Pfizer avait utilisé la mesure préférée de la FDA, à savoir la réduction absolue du risque, elle aurait informé le public que "le vaccin n’était efficace qu’à 0,85%", écrit Paxton.
"De plus, selon les propres données de Pfizer, la prévention d’un cas de COVID-19 nécessitait la vaccination de 119 personnes."
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| Kenneth Paxton |
Kenneth Paxton a récemment survécu à un procès en destitution au Sénat du Texas centré sur la corruption et d’autres allégations (Nick Wagner/Austin American-Statesman)
Paxton accuse également Pfizer d’avoir créé une fausse impression sur la durée de protection du vaccin sans aucun fondement.
Pire encore, la plainte accuse Pfizer d’avoir "dissimulé au public consommateur des données et des informations très pertinentes montrant que l’efficacité diminuait".
Pfizer est également accusé d’avoir fait des affirmations et des insinuations sans fondement sur la capacité supposée du vaccin à contrecarrer la transmission et à être utile contre les variantes.
La plainte indique également que Pfizer "a pris des mesures manifestes pour intimider et réduire au silence les personnes qui diffusaient des informations factuelles sur l’efficacité du vaccin", une campagne de censure qui a permis à l’entreprise "d’obtenir des engagements d’achat d’au moins 415 millions et 2,7 milliards de doses de la part des gouvernements américain et étrangers, respectivement".
La plainte indique également que Pfizer "a pris des mesures manifestes pour intimider et réduire au silence les personnes qui diffusaient des informations factuelles sur l’efficacité du vaccin", une campagne de censure qui a permis à l’entreprise "d’obtenir des engagements d’achat d’au moins 415 millions et 2,7 milliards de doses de la part des gouvernements américain et étrangers, respectivement".
Pfizer a notamment fait pression sur les plateformes de médias sociaux pour faire taire les sceptiques influents.
C’est avec beaucoup d’hésitation que nous avons qualifié la piqûre de Pfizer de "vaccin".
C’est avec beaucoup d’hésitation que nous avons qualifié la piqûre de Pfizer de "vaccin".
En effet, dans la pratique, son comportement n’a rien à voir avec le sens que l’on donnait à ce terme avant la pandémie.
Par exemple, avant le Covid-19, les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) définissaient la "vaccination" comme "l’acte d’introduire un vaccin dans l’organisme pour produire une immunité contre une maladie spécifique".
Après que les soi-disant vaccins contre le Covid-19 se sont avérés produire une immunité loin d’être fiable, les CDC ont déplacé les poteaux de but au profit des sociétés pharmaceutiques et de leurs compagnons de route au sein de la bureaucratie de la santé publique.
Après que les soi-disant vaccins contre le Covid-19 se sont avérés produire une immunité loin d’être fiable, les CDC ont déplacé les poteaux de but au profit des sociétés pharmaceutiques et de leurs compagnons de route au sein de la bureaucratie de la santé publique.
Comme l’a souligné Thomas Massie, membre du Congrès du Kentucky, en septembre 2021, les CDC ont publié un nouveau texte définissant la vaccination comme "l’acte d’introduire un vaccin dans le corps pour produire une protection contre une maladie spécifique" :
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Voici la plainte complète :
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Partagé par Jade le 1er décembre 2023 :