dimanche 24 septembre 2023

États-Unis : Pourquoi 800 Camps FEMA vous attendent ?

La FEMA attend avec impatience de vous faire entrer dans un de ses 800 immenses Centres de Détention pouvant entasser jusqu'à 65% des Américains !


Toc Toc… 
Il y a un air glacial alors que la porte en bois résonne des coups inquiétants. 
La sensation de votre cœur tombant dans votre estomac est inévitable. 
Ce n'est pas le voisin qui demande une tasse de sucre ou le facteur qui livre votre courrier. 
La voix que vous entendez est ferme et inébranlable.
"Monsieur, je suis un agent de l'Agence Fédérale de Gestion des Urgences. Pour votre sécurité, nous sommes là pour vous relocaliser, vous et votre famille."  
Au pays de la liberté et au pays des courageux, il semble qu'un jeu plus sinistre se prépare. 
Si vous pensiez que vos droits en tant que citoyen américain étaient inébranlables, détrompez-vous. 
Pendant que nous dormions, enveloppés dans le drapeau et chantant l’hymne, une présence presque spectrale s’est formée. 
Créée en 1979 sous la direction attentive du Président Carter, l’Agence fédérale de gestion des urgences (FEMA) a vu le jour. 
Il a promis d'être le gardien du public pendant les crises, assurant ainsi la continuité du gouvernement fédéral. 

Guide essentiel : Comment vraiment se préparer avant que la FEMA ne vienne frapper à votre porte ! 


Il existe dix régions, chacune étant liée à sa propre réponse d'urgence en fonction des niveaux de menace et des densités de population. 
Cela semble simple et utile, n'est-ce pas ? 
Détrompez-vous. 
Décollez les couches, et que trouvez-vous ? 
Une réalité troublante où la plupart des fonds de la FEMA et une partie importante de son personnel se perdent dans l'abîme bureaucratique du programme budgétaire noir du gouvernement fédéral. 
Seuls quelques privilégiés au Congrès étaient au courant des tenants et des aboutissants de cette opération. 
Un trésor de ressources financières et humaines, sans aucune responsabilité ! 
Où est passé tout cela ? 
Si l’on se réfère aux révélations audacieuses du journaliste du Miami Herald, Alfonso Chardy, celui-ci a dévoilé l’envoûtant "Rex 84". 
Il ne s’agissait pas d’une initiative gouvernementale ordinaire, mais d’un exercice au cours duquel d’innombrables citoyens américains, soudainement qualifiés de "menaces à la sécurité nationale", ont été placés en détention pendant un état d’urgence. 
La directive confiait également aux militaires le contrôle des mouvements civils.

La menace silencieuse : 800 camps font signe à leurs résidents !
La question que vous devez vous poser : où déplaceraient-ils ces citoyens ? 
La réponse troublante réside dans les 800 installations inactives réparties à travers l’Amérique. 
Avec une de ces installations près de Fairbanks, en Alaska, conçue pour accueillir jusqu'à 2 millions d'individus. 
Maintenant, faites les calculs. 
La population de l'Alaska ne dépasse même pas les 800.000 habitants. 
Alors, à qui s’adresse cette installation ? 
L’essence même de ces camps raconte une histoire. 
Silencieux, vide, mais toujours prêt, comme pour prédire un cataclysme imminent. 
Un événement qui nécessite vous et des millions d’autres. 


Au tournant du siècle, la FEMA s’est dotée d’un nouveau superviseur : le Département de la Sécurité intérieure. 
Et comme le révèle l’histoire, la perspective du gouvernement fédéral a évolué, peignant les citoyens sous un angle large et suspect. 
Les propriétaires d’armes responsables, qui constituent souvent l’épine dorsale d’une société libre, sont désormais qualifiés de "terroristes nationaux ". 
L'audace ! 
Pourtant, ce n’est pas un simple caprice. 
Un montant colossal de 16 millions de dollars a été investi dans un programme de l’Université du Maryland. 
Son objectif ? 
Surveiller et identifier les menaces potentielles de "terrorisme intérieur". 
Souvenez-vous du passé, de l'Amérique. 
Rappelez-vous l'époque entre 1942 et 1946, où plus de 125.000 Japonais/Américains étaient emprisonnés dans des camps d'internement. 
La directive choquante du colonel Karl Bendetsen était claire : toute personne possédant ne serait-ce qu'une "goutte de sang japonais" devait être détenue indéfiniment.
"L'énigme de la FEMA : aide ou danger ?" 
De l'espoir dans les promesses de la FEMA ? 
Ou redoutez-vous les secrets murmurés de leur ombre ? 
Ce sont des questions auxquelles tous les Américains doivent désormais se confronter. 
Nous avons découvert comment le "Plan de relocalisation en cas de crise" de la FEMA pourrait "évacuer" un nombre stupéfiant de 65% de la population américaine en seulement trois jours. 
Mais où vont ces gens ? 
Qu’est-ce qui nous attend ? 
Relions les points. 
L’implantation de ces vastes installations, en particulier celles comme l’Alaska, dans des régions éloignées et moins accessibles en dit long. 
Il dresse le portrait d’une orchestration massive visant à détenir et à transporter les citoyens vers leur destination finale. 



Une opération aussi monumentale nécessiterait indéniablement un système de suivi sophistiqué. 
Et vous pourriez dire : "Je vis dans une ville animée ! 
Ils ne peuvent pas m'atteindre." 
Ou peut-être : "Je suis sorti du réseau. 
Ils ne peuvent pas me suivre ou me trouver !" 
Mais détrompez-vous. 
La distance ou l’obscurité ne les dissuaderont pas.
Beaucoup de ces camps au silence effrayant sont stratégiquement placés sur des terres Fédérales, à l’abri des regards indiscrets des civils et des médias inquisiteurs. 
La proximité d'un système ferroviaire ou la possibilité d'une piste de fortune sont une caractéristique courante. 
(Filibert : Des témoignages parlaient de la présence de 30.000 guillotines modernes, déjà testées par la FEMA sur les SDF ramassés dans certaines villes, et nous avons vu de nombreux dépôts de millions cercueils géants en plastics noirs pour y entasser plusieurs corps, peut-être en attendant leur crémation !)
Prenez, par exemple, les camps du comté de Millard, dans l’Utah, et de Lewisburg, en Virginie occidentale. 
Ces installations n'ont pas été construites à l'origine pour les citoyens modernes, mais pour les prisonniers de guerre allemands et les Américains d'origine japonaise pendant la Seconde Guerre mondiale. 
Même les célèbres bases militaires américaines offshore et les sites noirs, comme Guantanamo Bay, pourraient très bien se transformer en centres de détention de la FEMA (Filibert : Les Marines Chapeaux Blancs occupent déjà cette base où ils détiennent et jugent les Traitres à la Nation Américaine, dont les Agents de la FEMA qui attaquent les Citoyens Américains pendant les situations d'urgence au lieu de les aider !). 
Leur camouflage est impeccable. 
Certaines sont dissimulées, tandis que d’autres se font passer pour des structures civiles inoffensives. 
Lors d'une rencontre effrayante, un père et son fils sont tombés sans s'en douter sur le site de Skull Valley, dans l'Utah, creusé dans un champ de tir abandonné du gouvernement américain. 
Le silence de la FEMA est assourdissant. 
Leur vaste programme de camps reste secret. 
Une fuite occasionnelle peut émerger, mais elle est hâtivement réduite au silence. 
Et ce n’est pas parce que les grands médias restent inconscients, ou peut-être intentionnellement muets, que leur existence est invalidée. 
C'est indéniable. Ils sont là. 
Mais sortons de cette obscurité imminente et demandons-nous : "Comment pouvons-nous nous protéger, nous-mêmes et nos proches ?" 
Les premiers moments qui suivent la crise sont cruciaux. 
Éviter le coup de la FEMA n’est pas une solution. 
S'ils veulent entrer, ils entreront. 
Ce qu'il faut, c'est un sanctuaire, discret et impénétrable.
Car, chers lecteurs, la liberté n’est pas seulement notre droit ; c'est notre devoir de le protéger.

https://gazetteller.com/urgent-why-fema-is-desperate-to-get-you-inside-their-massive-detention-centers/