Le JAG a Pendouillé en série les quatre Juges Traîtres du Colorado qui voulaient empêcher Illégalement, Donald Trump à se présenter aux Présidentielle 2024 !
Les quatre juges de la Cour Suprême du Colorado qui ont tenté d'empêcher le nom du Président Trump de figurer sur le bulletin de vote des primaires de l'État plus tôt cette année ont été exécutés séquentiellement pour trahison à GITMO le 10 juin - mieux vaut tard que jamais.
Comme nous l'avons indiqué, un groupe d'officiers militaires a déclaré à l'unanimité les juges Richard L. Gabriel, Melissa Hart, Monica Márquez et William W. Hood coupables de trahison, et le Vice-Amiral Darse E. Crandall a programmé leurs exécutions pour le 3 juin 2024.
Mais pour des raisons qui ne nous ont pas été communiquées et que nous n'avons pas pu déterminer de manière indépendante, l'Amiral a reporté les pendaisons très attendues au 10 juin.
Les quatre ont été nourris d'un dernier repas avant qu'on leur demande s'ils voulaient les derniers sacrements ou qu'un membre de l'équipe soit présent à la potence.
Les quatre ont été nourris d'un dernier repas avant qu'on leur demande s'ils voulaient les derniers sacrements ou qu'un membre de l'équipe soit présent à la potence.
Seule la juge Márquez s'est montrée intéressée par une réconciliation, mais elle a déclaré que sa foi, le paganisme, exigeait qu'une prêtresse de Kakia, la déesse grecque du vice et de la méchanceté morale, la fasse passer du "plan matériel" à l'autre monde.
Lorsqu'on lui a dit que le JAG n'avait pas de prêtresse disponible, Márquez a accusé le JAG de discrimination et a déclaré que pendre une lesbienne ou une personne non binaire pendant le mois de la fierté était moralement et bibliquement contraire à l'éthique.
La réponse du JAG : elle serait pendue la première, et ses trois co-conspiratrices auraient le privilège de la regarder recevoir un collier de corde avant leur tour respectif.
Les mains liées dans le dos, Márquez gravit les marches de la potence tandis que le policier militaire placé derrière elle appuie la bouche d'un fusil sur son dos.
La réponse du JAG : elle serait pendue la première, et ses trois co-conspiratrices auraient le privilège de la regarder recevoir un collier de corde avant leur tour respectif.
Les mains liées dans le dos, Márquez gravit les marches de la potence tandis que le policier militaire placé derrière elle appuie la bouche d'un fusil sur son dos.
Le bourreau qui se trouve sur la plate-forme lui passe le nœud coulant autour du cou et lui place un sac en tissu sur la tête.
Au-dessous d'eux, le Vice-Amiral Crandall lui a demandé si elle avait un dernier mot à dire, tandis que la police militaire tenait à distance les trois autres juges tremblants.
Le juge Hood a dit à ses collègues criminels que le JAG les avait peut-être nourris d'acide ou de LSD, ce qui avait provoqué une hallucination commune ou partagée.
Le juge Hood a dit à ses collègues criminels que le JAG les avait peut-être nourris d'acide ou de LSD, ce qui avait provoqué une hallucination commune ou partagée.
"Peut-être que rien de tout cela n'est réel et qu'ils essaient de nous faire peur", a-t-il déclaré.
L'Amiral lui jette un coup d'œil.
L'Amiral lui jette un coup d'œil.
"Si cela vous rassure, je n'y vois pas d'inconvénient.
Márquez s'adresse à l'Amiral et à une demi-douzaine d'officiers présents : "Vous avez tous prêté serment de défendre le pays contre les ennemis intérieurs.
Márquez s'adresse à l'Amiral et à une demi-douzaine d'officiers présents : "Vous avez tous prêté serment de défendre le pays contre les ennemis intérieurs.
L'Amiral Crandall est un MAGA et un terroriste national.
Si vous le suivez, vous partagerez son sort."
"Vous criez dans le vide, détenu Márquez", a répondu l'Amiral.
"Vous criez dans le vide, détenu Márquez", a répondu l'Amiral.
"Mettons ce spectacle en route."
Seul le Juge Gabriel détourna les yeux lorsque la trappe située sous les pieds de Márquez pivota et qu'elle tomba dans une mort lente, la chute n'ayant pas brisé ses vertèbres cervicales.
Seul le Juge Gabriel détourna les yeux lorsque la trappe située sous les pieds de Márquez pivota et qu'elle tomba dans une mort lente, la chute n'ayant pas brisé ses vertèbres cervicales.
Elle s'étrangle lentement, son cerveau étant privé d'oxygène.
Le Juge Hart a crié : "Oh, mon Dieu, ne nous faites pas ça" et a vomi sur le sol.
À côté d'elle, le juge Gabriel a invoqué le nom du 44e président : "Obama a dit que nous serions en sécurité !"
L'Amiral Crandall a raillé : "Vous avez mal placé votre foi".
Les médecins déclarent Márquez morte et enferment le cadavre dans un sac en polyuréthane.
Le Juge Hart a crié : "Oh, mon Dieu, ne nous faites pas ça" et a vomi sur le sol.
À côté d'elle, le juge Gabriel a invoqué le nom du 44e président : "Obama a dit que nous serions en sécurité !"
L'Amiral Crandall a raillé : "Vous avez mal placé votre foi".
Les médecins déclarent Márquez morte et enferment le cadavre dans un sac en polyuréthane.
L'Amiral ordonne que la potence soit remise en place pour la prochaine victime, Justice Hart, et demande à un ingénieur présent sur les lieux d'ajuster la corde et le contrepoids en fonction de sa taille et de son poids.
Les pendaisons macabres mais justifiées se sont achevées vers 14 heures.
Les pendaisons macabres mais justifiées se sont achevées vers 14 heures.
Quatre sacs mortuaires bombés gisent l'un à côté de l'autre sur le sol.
Le juge Gabriel était passé en dernier.
Le juge Gabriel était passé en dernier.
L'Amiral lui avait dit qu'il était sage de fermer les yeux pendant que les autres se balançaient, car même lui trouvait les pendaisons répugnantes, mais nécessaires.
Par Michael Baxter le 13 juin 2024 :
https://realrawnews.com/2024/06/jag-serial-hangs-four-criminal-colorado-scjs/
Par Michael Baxter le 13 juin 2024 :
https://realrawnews.com/2024/06/jag-serial-hangs-four-criminal-colorado-scjs/