vendredi 31 mai 2024

Le Transgenrisme n'est pas l'Eldorado tant Vanté !

Nouveau Scandale pour la Principale Association pour la Santé des Personnes Transgenres : WPATH bloque les Résultats de sa propre Recherche ! 


La transition de genre opérée sur les mineurs est en passe de mériter la qualification dont certains l’affublent : le scandale sanitaire du siècle. 
En effet, après la divulgation des Wpath files en mars dernier, une nouvelle polémique fait surface : la principale association professionnelle mondiale pour la santé des personnes transgenres aurait caché les résultats d’une étude qu’elle avait elle-même commissionné, car ses résultats ne vont pas de le sens de ceux désirés. 
En mars dernier le scandale éclatait dans le relatif silence médiatique : seuls quelques grands médias avaient relayé des WPATH files, tel The Telegraph qui écrivait que “les pires craintes concernant le traitement de genre venaient d’être confirmées dans des documents divulgués“. 
En effet, plusieurs emails et une vidéo-conférence de médecins spécialisés dans les soins aux personnes transgenres, provenant de WPATH, considérée comme la principale autorité scientifique sur la médecine dite de genre, avaient fuité. 
Des emails où il admettaient en privé que les patients étaient parfois trop jeunes ou affectés de maladie mentale pour comprendre pleinement les conséquences de leur traitement. 
En particulier, ils ne se rendaient pas compte qu’ils ne pourraient jamais avoir d’enfants, et de la perte de certaines fonctions sexuelles.

“Tu sais, en théorie c’est bien de parler à un garçon de 14 ans de préserver sa fertilité, mais je sais que c’est comme parler à un mur… 
La plupart des enfants n’ont pas assez d’espace cérébral pour en parler sérieusement. 
Ils seraient comme des enfants, des bébés, ça craint”. Dan Metzger, endocrinologue (dans la vidéo conférence, clip 9). (1) 
Pareillement pour leurs parents, “des gens qui n’ont même pas étudié la biologie à l’école“.

Les documents divulgués du WPATH parlent de mastectomies sans mamelons, d’incontinence après les opérations chirurgicales et de création “d’eunuques”. Pire – ou pas – dans un forum interne, ses experts évoquent la façon dont les patients ont développé des tumeurs ou sont morts d’un cancer lié au traitement hormonal. 
Les documents sont encore en train d’être analysés, mais la journaliste Mia Hugues, responsable de la publication avec Michael Shellenberger a souligné que “ce qu’il ressort des conversations privées c’est le sentiment d’avoir affaire, non à un groupe médical, pas un groupe de scientifiques, mais des personnes engagées dans de l’activisme politique.”

Mais ce n’est pas tout. 
Un autre scandale vient s’ajouter à ces faits gravissimes. 
Wpath se serait opposé de manière totalement dogmatique à la publication de données gênantes pour la ligne pro-LGBT de l’association. 
En 2020. Wpath avait chargé des chercheurs de l’Université Johns Hopkins de passer en revue les recherches existantes sur les traitements médicaux d’affirmation du genre. 
Mais les chercheurs n’ont trouvé “que peu ou pas de preuves concernant les enfants ou les adolescents. (“We found little to no evidence about children and adolescents.”)

Le rapport Cass – une évaluation indépendante commandée en 2020 par le Service de Santé National anglais (NHS) chargée d’analyser les services publics de soins pour les enfants transgenres ou présentant une dysphorie de genre – en était arrivé à la même conclusion en soulignant l’absence de véritables études sur la transition de genre. 
Les preuves en faveur des traitements d’affirmation du genre n’existent tout simplement pas, en ce qui concerne les mineurs, qu’il s’agisse de la chirurgie ou des bloqueurs de puberté. 
Or, cela n’empêche pas des associations comme WPATH de maintenir inchangées leurs lignes directrices concernant la transition de genre des enfants, pour ensuite influencer les gouvernements, les systèmes de santé nationaux, des associations médicales, ou des cliniques publiques et privées. 
Des apprentis sorciers qui ont fait fi du principe de base de la médecine, à savoir Primum non nocere, [premièrement, ne pas nuire]… sur la peau des enfants.

Audrey D’Aguanno

(1) Dan Metzger: “I, I was just gonna say, you know, like, like it’s always a good theory that you talk about fertility preservation with a 14 year old, but I know I’m talking to a blank wall. And the same would happen for a cisgender kid, right? They’d be like, Ew, kids, babies, gross.”

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